Check Point Software Technologies, pionnier de la sécurité des réseaux et des systèmes d’information, innove autour d’un événement virtuel inédit, le 26 novembre. Grâce à une forme de réalité « augmentée », il est possible d’y prendre ses rendez-vous, d’assister à des ‘keynotes’ et ateliers interactifs, comme si vous y étiez. Entretien avec Michael Techer, directeur général de Check Point France.
« Suite au succès de l’évènement Check Point Experience, qui a réuni 6.000 personnes à Vienne en janvier dernier, il avait été envisagé – avant même la crise du Covid – de concevoir des événements mixant le présentiel et le virtuel », explique Michael Techer.
L’arrivée de la crise sanitaire a « boosté » cette idée. En octobre, l’Italie a étrenné la formule avec succès : la transposition en un événement virtuel a fait florès. Tout l’art consiste à donner l’impression d’évoluer comme dans un jeu vidéo très réaliste : là, des portes qui s’ouvrent à l’intérieur d’un univers répliquant fidèlement un salon professionnel ; ici, l’affichage des ‘keynotes’, et un kiosque d’accueil pour toutes informations utiles ou encore la signalétique pour se rendre virtuellement aux conférences et ateliers (cf. le programme ci-dessous).
La cybersécurité suscite, il est vrai, un regain d’intérêt depuis l’avènement de la pandémie et la généralisation du télétravail. « Beaucoup d’entreprises en ont fait l’amère expérience : la cybercriminalité n’a jamais été aussi prospère que durant les 8 derniers mois – notamment les attaques perpétrées par des logiciels rançonneurs (‘ransomwares’) tels que Maze et Ryuk. Ce dernier, à lui seul, infesterait 20 entreprises chaque semaine », avertit Michael Techer.
Les rançongiciels restent très préoccupants
Une récente enquête de Check Point révèle que les attaques quotidiennes par « rançongiciels » ont enregistré une hausse de 50% entre juillet et septembre, par rapport au premier semestre 2020, dans le monde.
Tous les secteurs d’activité sont touchés, à commencer par les communications, l’éducation-recherche, les administrations centrales et armées, les collectivités et les fournisseurs de logiciels. Au-delà des risques financiers, Check Point détecte des attaques délibérément destructrices.
Des brèches ouvertes par le télétravail
Disposant d’une infrastructure d’intelligence partagée, dénommée Threat Cloud, Check Point évalue en permanence les cybermenaces à travers le globe. Le dispositif, alimenté par des centaines de millions de capteurs dans le monde, montre que le télétravail provoque des brèches dans la sécurité des entreprises.
Check Point relève notamment la prolifération des ‘ransomwares’ et note une sophistication croissante des cyberattaques comme, par exemple, la technique de « double extorsion », qui commence par l’extraction quasi invisible d’informations sensibles…
Révélations sur la menace Emotet
Check Point constate également le retour du ‘malware’ Emotet au travers de techniques de ‘phishing’ (hameçonnage). Il toucherait 5 % des entreprises dans le monde, et serait utilisé pour diffuser d’autres logiciels malveillants ou lancer des campagnes très agressives.
Aujourd’hui, comme le révèle Check Point, la professionnalisation des pirates les conduit à développer des plateformes de services qui vendent des listes de postes de travail infectés, lesquels servent à diffuser des campagnes de ‘ransomwares’ ou d’autres types d’attaques.
Rendez-vous le 26 novembre
En résumé, la vigilance s’impose : « Ces attaques vont malheureusement continuer », estime le responsable de Check Point France.
Lors de l’évènement du 26 novembre (cf. ci-après), tout un ensemble de recommandations et de mesures de protection sont passées en revue, avec des témoignages d’experts et des cas clients. Une nouvelle approche de la cybersécurité se dessine.
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26 novembre :
Un événement virtualisé, en direct et à la carte
Pour sa journée en visioconférence ‘live’ du 26 novembre, Check Point innove. Tout est mis en œuvre afin d’amplifier l’expérience et la réceptivité des participants – clients, prospects et partenaires, consultants experts…. Ils vont pouvoir évoluer sur la scène virtuelle de l’événement comme s’ils étaient physiquement présents à une convention : accès à un choix de conférences et d’ateliers, échange avec un point d’accueil, affichage des espaces de rencontre, des ‘keynotes’ et ateliers techniques.
Comme dans un scénario de réalité augmentée, on peut choisir d’écouter tel ou tel ‘keynote’ ou suivre telle ou telle présentation. Les dirigeants de Check Point seront accessibles. Des rendez-vous pourront être sollicités.
Voici les principaux temps forts de la journée :
– ‘keynote’ de Gil Shwed, fondateur et CEO de Check Point : Sécuriser le monde après la pandémie.
– intervention de Luc Julia, le co-inventeur franco-américain de l’interface vocale Siri (Apple) et auteur de l’ouvrage : « L’intelligence artificielle n’existe pas »
– Les dernières innovations Check Point par notre Senior Security Architect et Cyberévangeliste Philippe Rondel.
– Une sécurité globale dans ce nouveau paradigme par notre directeur technique France Xavier Duros
– ateliers techniques de 30 mn
– tables rondes avec des experts.
– présentation des nouveautés et innovations dans le Cloud Check Point.
Renseignements et inscription :
https://virtual-france.checkpoint.com/
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