Jeune start-up suisse de dimension internationale lancée en 2018, Yeldo s’est fixé comme objectif de faciliter l’accès à la propriété. Sa méthode ? Le développement de copropriétés, qui permettent de générer des revenus passifs sur des biens qualitatifs et rentables. Démocratique dans son ADN, la start-up vise à la fois les entreprises et les particuliers, et entend bien se développer à l’international dans les prochaines années.
L’immobilier : une source de revenus
Lorsqu’ Antonio Borgonovo le fondateur et actuel CEO parle de la manière dont il a eu l’idée de Yeldo (diminutif affectueux de « yield » : « rendement »), il met en avant une certaine logique concernant les rentrées financières : sans revenus passifs, le temps de travail sur une vie s’avère sans fin, puisqu’il faut toujours travailler pour subvenir à ses besoins. L’immobilier lui semble présenter tous les avantages d’une source de revenus passifs, mais, il faut beaucoup de temps et d’argent pour acheter un bien immobilier, sans même aborder la question des démarches administratives. Antonio Borgonovo, qui se définit comme issu d’une classe moyenne et attachée à la valeur du travail, réfléchit alors à une autre manière de convenir l’accès à l’immobilier. Comment acheter lorsque l’on ne dispose pas de fonds financiers importants ? Il a alors l’idée d’une plateforme qui permettrait l’accès à la copropriété à tous, y compris les budgets restreints. Yeldo, qui propose de devenir propriétaire à partir de 25 000 CHF et sans limite de plafond, est née.
Des garanties assurées
Simple, transparent et efficace, Yeldo garantit une approche « sans tracas » de l’immobilier. L’objectif de la start-up est simple : permettre des revenus fiables et durables à ses partenaires à travers de bons produits qui garantissent de bons apports. En ce sens, de l’amont à l’aval, Yeldo pense à tout. À la qualité des biens immobiliers, par exemple, qui se doit d’être neufs ou récemment rénovés et équipés. Ainsi, seulement 2 à 3 % des propositions reçues sont retenues et présentées aux clients finaux, via la plateforme Yeldo. Ensuite, la gestion des biens, quelle que soit leur taille, est assurée par Yeldo, tout comme la recherche initiale, les conseils de vente et l’accompagnement de bout en bout.
Qu’il s’agisse d’un premier accès à la propriété à hauteur du plafond minimum ou de l’achat de propriétés entières à plusieurs millions d’euros, l’entreprise considère ses clients sur un pied d’égalité et leur apporte les mêmes garanties, et les mêmes pourcentages de revenus, soit entre 5 et 7 % annuels de retour sur investissement.
Tous les biens proposés par Yeldo via la plateforme ont été préalablement certifiés par Wüest Partner, l’une des sociétés d’évaluation d’immobilier les plus célèbres de Suisse. Cette entreprise indépendante, qui existe depuis 1985, occupe une place de leader en matière d’accompagnement des professionnels de l’immobilier dans le développement de leurs projets.
Objectif : renforcer son implantation en Suisse
S’appuyant à la fois sur une équipe internationale et sur le soutien d’investisseurs et conseillers de dimension internationale, Yeldo souhaite pour l’instant se concentrer sur le développement de son implantation en Suisse, et, en plus, permettre à des investisseurs étrangers de profiter de l’ensemble de leurs solutions immobilières. À l’heure actuelle, la loi Suisse ne permet pas aux étrangers de profiter de la location de biens à usage autre que professionnel. Unique en Suisse pour l’instant, la start-up souhaite donc consolider le concept d’investissement en copropriété, qui existe depuis 2012 mais se révèle encore peu courant. Ouverte aux investisseurs comme aux particuliers, la start-up Yeldo considère que la transparence, la simplicité et la facilité permettent un accès plus démocratique à la propriété, et surtout aux revenus passifs qui peuvent grandement contribuer au bien-être d’entreprises comme de particuliers.