WeiD réunit des professeurs animés par des valeurs communes et un engagement fort et ouvre, en plein cœur de Paris, des classes préparatoires à effectifs réduits dans un écosystème éducatif entièrement dédié à la connaissance et l’excellence.
Une histoire partagée
WeiD est né d’un dîner au cours duquel David Colle et Pierre-Henri Chappaz ont partagé un constat et une ambition. Un constat né d’années passées à l’écoute de professeurs quant à leur travail, d’anciens étudiants intégrés quant à leurs attentes et de professionnels de grandes institutions quant aux difficultés croissantes à recruter les « bons profils ». Une ambition ensuite : l’éducation doit demeurer un investissement et non un commerce fondé sur l’inquiétude grandissante des parents. Rejoints par Simon Chaussende, aux valeurs et qualités bien affirmées à HEC, puis par Alexis Fontana Muñoz, expert-comptable diplômé et ESSEC, battant, entreprenant et soucieux de ce qu’il pense devoir personnellement et professionnellement à ses professeurs, tous considèrent que la classe préparatoire doit rester une formidable opportunité méritocratique pour ceux qui souhaitent la saisir et une vitrine de l’exigence en matière de transmission du Savoir (ce que signifie ce très ancien mot indo-européen : WeiD). C’est ainsi que des professeurs animés par des valeurs communes et un engagement fort ont choisi de rassembler leurs énergies pour ouvrir des classes préparatoires à effectifs très réduits, propices à l’efficacité, l’empathie, le goût d’apprendre. Ces professeurs, engagés en faveur de l’excellence pour des étudiants exigeants, sont soutenus par des actionnaires impliqués.
Un écosystème éducatif
WeiD supprime les ruptures brutales, de plus en plus difficiles à vivre, entre le lycée et la classe préparatoire, entre cette dernière et les grandes écoles, puis entre les grandes écoles et le monde du travail. La classe préparatoire aux grandes écoles de commerce est au cœur de cette dynamique avec une classe de première année, et deux classes de deuxième et troisième année. Une première année innovante à double titre, avec la possibilité de suivre les deux options en mathématiques, pendant quelques mois ou toute l’année, pour faire un choix réfléchi entre « appro » et « appli » en connaissance de cause, et non sur la base d’un a priori, concernant la difficulté et des coefficients. De plus, tout étudiant de la classe préparatoire aux grandes écoles de commerce peut choisir une « majeure » (environnement, finance, tech, droit, luxe…) lui ouvrant les portes des événements que WeiD organise avec les Presses Universitaires de France (PUF), des chercheurs et des professionnels : conférences fréquentes, rencontres en petit groupe de travail sur des thèmes sociétaux, échanges privilégiés avec leurs aînés d’une ou deux générations, etc. Cela permet aux étudiants de confirmer et d’affiner leur attrait pour mieux se préparer, à court terme, aux entretiens de personnalité (un des plus gros coefficients des concours) et développer leur culture générale ainsi que la manière de l’utiliser, ce qui est essentiel à long terme pour une évolution de carrière.
La liberté des professeurs pour le plus grand succès des étudiants
Les enseignants sont des professeurs de classes préparatoires expérimentés, qui ont fait leurs preuves, connaissent par cœur les exigences du concours, et sont à ce point passionnés par leur discipline qu’ils ne supportent pas qu’un de leur cours puisse être ennuyeux. Des professeurs qui maîtrisent tellement leur discipline que des éditeurs de premier plan ont envie de leur confier des manuels. Des professeurs qui partagent les mêmes valeurs sur l’éducation, refusant de dévoyer la classe préparatoire en vendant des dissertations « en kit » qui ne réussissent en fait qu’à quelques-uns, qui ne confondent pas éducation et humiliation. Enfin, des professeurs qui choisissent d’être chez WeiD, qui ne se voient pas imposer des clauses d’exclusivité ou de non-concurrence, et qui y travaillent parce qu’ils s’y sentent bien. Un professeur, s’il est bon, doit être une sorte de profession libérale dans un environnement où l’administratif et le hiérarchique s’effacent, pour n’être concentré que sur sa pédagogie. En outre, le recrutement des étudiants se fait sans concession, ce qui ne signifie pas intransigeance et algorithme, mais discernement. Hormis le dossier qui constitue l’élément de présélection, un entretien d’une vingtaine de minutes permet à l’étudiant de faire ressentir une réelle volonté personnelle d’entrer en classe préparatoire aux grandes écoles de commerce, une personnalité qui ne demande qu’à s’affirmer, et des connaissances qui ne demandent qu’à s’affiner.
À la suite du cursus préparatoire aux grandes écoles de commerce, WeiD offre la possibilité aux étudiants de continuer à partager avec l’équipe pédagogique une exigence intellectuelle : le Savoir s’entretient et entretient. Le savoir est une force. Son apprentissage est une joie.
