Il n’est pas rare qu’un entrepreneur doive gérer une situation de crise au cours de sa carrière. Pour y faire face efficacement, c’est avec Silverlining coaching que ça se passe.
Des séances dédiées aux professionnels pour gérer les crises
La marque Silverlining coaching propose des programmes de coaching individuels pour les managers et dirigeants, des coachings collectifs pour des équipes de direction ainsi que des programmes pour les particuliers. Lors de ces modules composés de 6 à 8 sessions, la coach Patricia Vinot-Tooze propose des temps de dialogue dans des conditions de confidentialité absolue. « L’enjeu de confidentialité est pour moi au cœur de la relation de coaching. Le coaché doit pouvoir s’exprimer librement en sachant que ses propos ne seront jamais restitués », explique Patricia Vinot-Tooze. Cofondatrice de Silverlining coaching, elle accompagne des dirigeants et leurs équipes dans des moments particulièrement exigeants, dans la gestion de crises dans leur organisation ou dans des moments de forte pression de leur environnement. Les coachings peuvent également être motivés par des situations d’incertitude, par des relations humaines tendues, par une perte de motivation, par de l’épuisement au travail ou encore par des problématiques de harcèlement. « La capacité des dirigeants à s’adapter est très sollicitée. En tant que coach, nous intervenons souvent dans des moments où leur aptitude à s’adapter ne suffit plus pour faire face », poursuit Patricia Vinot-Tooze.
Être centré sur soi pour mobiliser ses ressources
Qu’ils soient en prise de poste, en transition ou stabilisés dans leurs responsabilités, les clients coachés de Patricia Vinot-Tooze évoluent dans des univers d’excellence qui les confrontent à des relations multilatérales, des dilemmes, des paradoxes et même à une forme de solitude. C’est pourquoi le mode d’accompagnement chez Silverlining coaching est centré sur la personne, sur sa connaissance d’elle-même et la mobilisation de ses propres ressources. Le but : rompre avec le sentiment de solitude propre à leur fonction de dirigeant et leur niveau de responsabilité, comme le souligne Patricia Vinot-Tooze : « Souvent, les dirigeants qui viennent nous consulter sont bloqués dans une situation. Nos coachings permettent de remettre du mouvement dans ce qui était figé. En prenant de la distance et en ajoutant un peu de créativité, nous ouvrons avec eux la possibilité de réagir autrement au système complexe auquel ils sont confrontés ». À noter également que l’entreprise propose des séances pour « coacher autrement », notamment à travers des sessions en marchant en extérieur, un moment de rencontre avec un cheval en liberté, ou encore par le biais du théâtre. Des techniques originales qui permettent d’aller vers la résolution des situations difficiles et vers une meilleure connaissance de soi.
De la réflexion à l’action
Si la connaissance de soi s’approfondit au travers la conversation, chez Silverlining coaching, cet art de la conversation est tourné vers l’action. Les dialogues sont alimentés par des situations concrètes et ont pour vocation d’amener un changement. « Le dialogue naît de l’exploration des situations vécues par le client coaché et ce sont les questions qui jaillissent de la conversation qui font véritablement la différence. Je suis toujours très attentive au récit de mes clients, au vocabulaire qu’ils utilisent, aux détails qu’ils apportent, à leur débit de parole, à leur souffle, à leurs émotions lorsqu’ils parlent de tel ou tel sujet. Toutes ces informations me permettent de construire un questionnement utile pour mon client, parce qu’il va lui permettre de reconsidérer sa propre situation et ses possibilités d’agir sous un angle différent et efficace. Je suis aidée en cela par mon expérience professionnelle très variée, de la sidérurgie au digital, et ma culture de l’entreprise. Mes clients apprécient la rapidité avec laquelle j’intègre leur contexte, la spécificité de leur organisation et sa complexité et qui me permet d’accompagner efficacement des directeurs industriels, des CTO ou des hauts fonctionnaires », conclut Patricia Vinot-Tooze.
