Maison finement décorée et aménagée aux portes de Lyon, L’Augusterie est un lieu hors du temps dédié aux entreprises, qui permet de réhumaniser les relations professionnelles grâce à une atmosphère agréable et conviviale
Réhumaniser les relations professionnelles
Selon l’étude State of the Global Workplace de Gallup, réalisée en 2023, seulement 7 % des salariés français se sentent engagés dans leur travail, qui place la France à la 36e place européenne, sur 38 pays. Alarmée par cette tendance, Pascaline Larose, fondatrice du groupe Ideme, a ajouté à son catalogue l’Augusterie, une annexe de vie professionnelle à Lyon, avec pour ambition de jouer son rôle dans la transformation du monde économique, grâce à l’engagement des équipes. « Notre objectif est de redonner du sens au quotidien des salariés en les reconnectant à la vision du dirigeant, à la raison d’être et aux valeurs de leur entreprise, en réhumanisant les relations professionnelles et en adaptant les espaces qui les entourent », explique-t-elle. Ainsi, l’Augusterie s’intègre parfaitement dans cette vision, en proposant une expérience de vie où l’humain redevient le cœur de la dynamique professionnelle.
Celle-ci s’incarne par cette confidentielle mais chaleureuse maison, aux portes la capitale des Gaules, qui peut recevoir jusqu’à 50 personnes lors de codir, de réunions d’équipe, d’ateliers, de négociations, de rencontres avec des partenaires, de formations, etc., ou simplement pour changer d’environnement de travail le temps d’une journée. Si l’Augusterie accueille des sociétés de toute taille et de tout secteur pour des événements ponctuels, elle privilégie un concept novateur d’abonnement, pour inscrire cette maison comme un vrai rendez-vous au service d’une stratégie d’entreprise.
Un cadre professionnel innovant dans une atmosphère détendue
Avec ses quatre niveaux, son jardin arborée avec sa terrasse et sa piscine, la belle pièce de vie, les différentes salles de réunion et même ses caves propices aux dégustations et aux échanges informels, cette maison privatisée propose une vraie expérience du travail, où les barrières se lèvent et où tout le monde se parle de personne à personne, et non plus de fonction à fonction. « C’est une maison qui fait le lien entre notre chez soi où l’on se sent bien et le lieu de travail, c’est un lieu neutre dans lequel une dynamique se crée instantanément. En faisant appel à une atmosphère plus habituelle, qui se retrouve normalement dans la sphère privée, la posture s’adapte et la réhumanisation des relations opère. C’est par cette posture que démarre la réconciliation entre les salariés et leur entreprise », estime Pascaline.
En effet, en plus de créer de l’engagement de la part des équipes, c’est tout un processus de créativité qui va être stimulé par la pertinence des échanges formels ou informels, par l’environnement artistique et coloré de la maison et par le sentiment de détente, de sérénité et de calme que procure l’Augusterie. Cette bouffée d’air frais a donc pour vocation d’engendrer des changements dans la société et que ceux-ci se prolongent dans la durée, d’où le système d’abonnement mis en place par le Groupe Ideme pour ce lieu.
Des ateliers pour animer la journée
Si la maison est entièrement privatisée à la journée, les équipes de l’Augusterie trouvent le subtil équilibre entre présence et autonomie, en accompagnant leurs clients dans l’organisation de la journée et en étant sur place avec discrétion. En plus de petits-déjeuners, de déjeuners et d’afterworks préparés avec des produits locaux, l’Augusterie propose une offre d’ateliers de travail sur des thèmes liés à l’engagement des salariés, comme la synergie d’équipe, la communication, la posture de management ou le leadership. « On nous dit souvent que la journée a été très productive, mais qu’ils n’ont pas eu l’impression de travailler », raconte Pascaline.
Ainsi, plus qu’une simple maison dédiée aux événements professionnels, l’Augusterie est une expérience nouvelle du monde du travail de demain, dans lequel les relations seraient plus humanisées, les salariés seraient plus engagés, la communication serait encouragée et où l’épanouissement au travail ne serait plus un fait rare, mais bien une normalité.
