Avocat exerçant dans les domaines du droit des affaires, du droit pénal et du droit du sport, Paul Latouche s’est forgé, à la fois patiemment et rapidement, une solide réputation. Amoureux de son métier, il représente ses clients en France comme à l’international et incarne l’essence même d’un avocat moderne.
Le quotidien d’un avocat regorge de mystères. En robe en train de plaider devant un juge, dans son bureau le nez dans un dossier à chercher une nullité de procédure ou en réunion avec des experts pour préparer au mieux la défense de ses clients, cette profession est un carburant à l’imaginaire. Paul Latouche, lui, coche de nombreuses cases de son métier. Après avoir prêté serment en 2018, il débute sa carrière au sein du cabinet de Jean-Marc Florand, qu’il considère comme son mentor. Là, il affine sa vision : devenir un avocat complet, capable de comprendre et de conseiller ses clients au quotidien, mais également de les représenter avec autant de passion que d’engagement devant les juridictions. En 2020, il fonde déjà son propre cabinet, un espace où la défense, l’écoute et la stratégie se croisent pour mener ses missions avec efficacité.
Représenter des parties civiles lors du procès des attentats de Strasbourg de 2018, faire rapatrier au Maroc le corps d’un jeune homme disparu, représenter des célébrités du monde du cinéma ou des artistes de la scène musicale, défendre les intérêts de footballeurs de haut niveau ou accompagner des clients fortunés dans leurs investissements internationaux, tout cela fait partie du quotidien bien rempli de Paul Latouche. « Je suis amené à représenter des clients venant de tous les horizons, ce qui est une grande richesse car cela me pousse à adopter une gymnastique intellectuelle très stimulante », déclare celui qui s’est passionné pour la profession en regardant les films de Martin Scorsese. Amoureux de l’éloquence, féru de liberté et animé par un sens aigu de la justice, il bâtit sa carrière en mêlant rigueur, créativité et empathie.
L’approche humaine, une clé essentielle
Spécialisé dans les domaines du droit pénal, du droit pénal des affaires et du droit du sport, grâce à son statut de mandataire sportif, ce passionné de cinéma représente ses clients sur tous les terrains, que ce soit autour d’une table de négociation ou devant les tribunaux correctionnels et les cours d’assises, qu’ils soient accusés ou parties civiles. Cette transversalité est l’un des piliers de son cabinet car, selon Paul Latouche, « il me paraît fondamental de se faire Conseil de mis en cause autant que de parties civiles. Cela, en plus de disposer de plusieurs spécialités, permet de savoir répondre efficacement aux besoins de toutes les parties, en proposant des solutions sur mesure et adaptées à chaque situation. » Une approche particulièrement prisée par sa clientèle internationale, qu’il accompagne régulièrement à Londres, New York, ou encore au Brésil.
Si Paul Latouche se distingue par ses compétences techniques, c’est son approche humaine qui marque les esprits. « La dimension humaine est essentielle. Pour défendre efficacement quelqu’un, il faut le comprendre, pouvoir saisir tous les enjeux personnels et juridiques que représente sa situation », explique-t-il. Lorsqu’il reçoit ses clients dans son cabinet situé dans un des plus beaux immeubles haussmannien de la rue de Courcelles à Paris, il prend le temps d’écouter leur histoire, leurs difficultés et leurs attentes. « J’explique que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir, mais sans promesses irréalistes. L’honnêteté et la confiance sont la base de toute relation », poursuit l’avocat.
« Mettre des mots sur les maux de ceux qu’on représente »
La créativité est l’autre force de Paul Latouche. Chaque dossier est pour lui un défi intellectuel où il cherche la faille, l’argument ou la stratégie qui fera pencher la balance en faveur de son client. Cette capacité à allier rigueur et imagination lui permet d’anticiper les arguments adverses et de préparer des plaidoiries percutantes. Plaider, justement, est pour lui l’un des plus grands plaisirs du métier et l’un des fondements de sa profession. Pour lui, « c’est un moment où l’on peut se livrer, défendre son client avec passion et sincérité. Être un bon orateur se travaille, mais la plaidoirie est surtout nourrie de nos références culturelles et des échanges précieux que nous avons avec nos clients. Notre rôle est de mettre des mots sur les maux de ceux que l’’on représente ».
Seulement quelques années après la création de son cabinet, Paul Latouche envisage déjà l’avenir avec ambition. Si l’ouverture d’un bureau à l’étranger est une option qu’il explore, il reste également attentif aux évolutions de son métier. « Nous vivons à une époque où l’immédiateté guide beaucoup de décisions. Les clients veulent des solutions rapides, la négociation devient donc un outil clé pour résoudre des litiges sans passer par les longues procédures judiciaires », fait-il remarquer. Mais pour cet avocat passionné, la modernité ne doit jamais sacrifier l’essence humaine de la profession. Avec une vision à la fois ancrée dans l’humain et tournée vers l’international, Paul Latouche incarne pleinement ce que signifie être avocat au XXIᵉ siècle. Une quête de justice, de liberté et d’excellence qui ne fait que commencer.