Le concept Kōsame décline un art de vivre par des gammes de mobilier épurées et un design d’intérieur qui insuffle une vision plus authentique et durable.
Honorer la matière et le savoir-faire
Guillaume Devora est ingénieur aéronautique chez Airbus lorsqu’il décide de changer de vie et part s’installer à Bali. Il va alors travailler quelque temps dans une entreprise de yachting avant de fonder Kōsame en 2021. Dès le départ, l’idée germe dans sa tête de proposer bien plus qu’une collection de meubles qualitatifs, durables et éthiques. Il voit dans sa marque un vrai mode de vie, une redéfinition des codes du luxe qui bénéficie à la nature et aux hommes. Pour cela, il s’entoure à la fois d’artisans locaux et d’architectes d’intérieur de renom à l’international. L’Indonésie étant une « mine d’or » en matériaux nobles et tendances comme le bois de teck, la pierre de lave ou encore le marbre, Guillaume décide de s’engager sur un sourcing durable et raisonné. Par exemple, les bois choisis proviennent de plantations et non de la déforestation. D’ailleurs, pour chaque produit vendu, un nouvel arbre est planté par le biais de l’association Trees 4 Trees avec laquelle Kōsame collabore. La fabrication par des usines réputées qui respectent les standards internationaux assurent une production à la demande pour des clients professionnels du monde entier : architectes et designers, boutiques, hôteliers et restaurateurs.
Un intérieur épuré et inspiré
Kōsame s’est fait connaître par des projets comme les restaurants Yuki à Bali, entièrement imaginés et meublés par la marque. En effet, l’entreprise dispose à la fois de designers de produits et d’architectes d’intérieur capables de créer et monter un concept de A à Z. Telle une vitrine, ces restaurants ont amené bien des nouveaux clients à Kosame dont les meubles éthiques et épurés se retrouvent désormais en Australie, au Canada, en Israël, en Espagne ou en France. Parmi les clients qui ont craqué pour l’entreprise et ses valeurs, des projets d’habitat privé ont vu le jour. D’abord à Bali, Kōsame a réalisé entièrement l’architecture et aménagement intérieur d’une villa de 1000 m² avec l’architecte Alexis Dornier : The Freebird Project. Aujourd’hui, c’est au Sénégal à Saly, que l’équipe Kōsame est en train d’agencer et meubler une villa après que leur client venu déjeuner au restaurant Yuki de Bali soit tombé amoureux du concept. Cette capacité à développer des projets d’ampleur en collaboration avec des architectes d’intérieur de renom permet à Kōsame de faire rayonner à l’international la noblesse des matières indonésiennes et le savoir-faire de ses habitants.
Projet Serene Haven : la quintessence de la philosophie Kōsame
L’impact positif sur la nature indonésienne et sa population est au cœur des préoccupations de Kōsame. Voilà pourquoi l’entreprise s’implique aujourd’hui dans un nouveau projet d’ampleur, aux antipodes de la construction de masse qui défigure Bali. Force est de constater que les insulaires abandonnent le travail de leur terre, préférant la vendre aux promoteurs et vivre quelques années de leurs deniers. Mais après ? Quel avenir pour ces populations sans terres et sans activités ? Dans l’optique de rendre à la nature et aux habitants la terre et le fruit de cette dernière, Kōsame développe aujourd’hui une nouvelle vision du luxe en harmonie avec l’environnement dans son projet Serene Haven. Sept propriétés exclusives dans le Sud d’Ubud, à proximité immédiate de l’école Green School prisée par les expatriés, vont être construites dans un écrin de verdure. Sans couper les arbres, bien au contraire, les villas de 250 m² seront intégrées à leur environnement avec des espaces communs, des jardins, une rizière cultivée par les habitants du village et même des plantations de thé. Véritable aboutissement de la philosophie Kōsame, ce projet en cours de commercialisation espère inspirer un autre mode de vie et d’investissement à Bali.
