La marque DESTREE ouvre son premier flagship parisien

Après avoir mené avec succès une levée de fonds au printemps 2022, réalisée auprès d’un tour de table 100% féminin composé de personnalités influentes, (Jessica Alba, Beyoncé, Gisele Bündchen pour ne citer qu’elles), DESTREE poursuit son ascension et ouvre son premier flagship à Paris. 

Portée par cette nouvelle dynamique, la griffe inaugure son premier point de vente en plein cœur du premier arrondissement de Paris. Un lieu volontairement central, situé dans un écosystème luxe, prisé tant des parisiens que des voyageurs internationaux. Cette boutique, Géraldine Guyot et Laëtitia Lumbroso l’ont voulue à l’image des influences qui nourrissent l’univers de la marque, au croisement entre New-York et Paris, deux villes chères à leur cœur.

Installée depuis deux ans à New-York, Géraldine Guyot a su séduire et déployer avec succès sa griffe sur le marché américain. Très vite, elle a fédéré autour de DESTREE une communauté d’artistes et de talents, multipliant ainsi les occasions de créer des passerelles entre la mode et l’art.

Passionnée d’art contemporain, Géraldine Guyot s’est liée d’amitié avec Simone Bodmer-Turner, une sculptrice qui infuse à ce médium une vision contemporaine. L’épure de ses lignes, conjuguée à une palette chromatique minérale, donne à chacune de ses œuvres une expression particulière. « A la croisée de l’art et de l’artisanat, l’univers créatif et la signature stylistique de Simone m’ont immédiatement séduite. Les courbes, la pureté, la douceur de ses œuvres sont envoûtantes. J’ai immédiatement pensé à elle pour notre première boutique. Cette collaboration, c’est aussi une façon de faire venir New-York à Paris, et de faire coexister chez DESTREE ces deux pans de ma vie qui sont intimement liés » explique Géraldine Guyot.

L’artiste a eu carte blanche pour penser et imaginer les codes de la boutique DESTREE. Simone Bodmer-Turner a abordé cet espace comme une toile blanche, un défi créatif dont la finalité est avant tout de susciter une émotion. « Je suis honorée d’avoir été sollicitée par Géraldine pour l’accompagner dans cette nouvelle étape. C’est avec beaucoup d’enthousiasme et d’excitation que j’ai accepté le défi de créer le premier point de vente de la marque. J’admire l’esprit qu’elle insuffle à DESTREE, mixant avec justesse des références stylistiques à la fois intemporelles et sophistiquées ».

Après plusieurs mois de travaux, le résultat est à la hauteur des attentes. L’ancien point de vente a laissé place à un écrin minéral, d’un blanc immaculé, qui s’apparente à une sculpture grandeur nature. Deux pièces uniques – une lampe tulipe et une sculpture – réalisées spécialement pour DESTREE par Simone Bodmer-Turner, renforcent la dimension artistique de l’espace. Dans cette bulle créative, préservée de l’agitation parisienne, le client est invité à prendre le temps.

De New-York à Paris, et réciproquement. En réponse à ce projet parisien, l’artiste a ouvert les portes de son studio new-yorkais pour shooter la nouvelle collection DESTREE. Une campagne signée par l’étoile montante Camila Falquez, mettant en scène la mannequin Meadow Walker, un des visages les plus prisés du moment. Un casting exclusivement féminin, à l’image des valeurs de la marque et de sa volonté de célébrer les femmes.

Située au 3 rue du 29 juillet, la boutique DESTREE présente les collections prêt-à-porter et maroquinerie de la maison, mais aussi la ligne de chapeaux et des bijoux. Un univers complet, qui séduit les femmes en quête de pièces avec une identité forte.