Reconnaissables entre tous avec leur look rétro vintage, les vélos électriques Rayvolt rencontrent un succès fou !
Présente dans 25 pays, la marque fondée par Mathieu Rauzier souffle ses 6 bougies … et lance eXXite, sa nouvelle gamme urbaine et minimaliste chic.
Fin mars, dans les splendides locaux du Musée Européen d’Art Moderne de Barcelone où sont les bureaux de Rayvolt, Mathieu, entouré de son équipe, était tout smart et tout sourire. Et pour cause ! Un 6è anniversaire marqué par le lancement de eXXite. « Comme pour Rayvolt, mes valeurs restent les mêmes : Innover et respecter l’environnement en remplaçant les cyclomoteurs et les scooters par des vélos électriques » annonce d’emblée ce designer au génie créatif certain.
Un design plus moderne
« Nous avons conçu eXXite en réponse au développement technologique de Rayvolt. Notre nouvelle marque s’éloigne du look rétro et se concentre sur un design plus moderne et plus proche de sa technologie ». Si c’est la X1bike, le plus high tech de tous les vélos, qui a lancé cette nouvelle marque, la gamme compte déjà plusieurs modèles : les vélos pliants XS et XXS, NeXt (le vélo urbain au design minimaliste et au guidon intégré doté d’un écran interactif), CoolX (une alternative solide pour la mobilité urbaine et de travail, parfait pour les coureurs de livraison ou les entreprises de partage) et LaX (une approche novatrice des trottinettes électriques combinée à la conception classique d’une motocyclette « Vespa »).
Et Mathieu a profité de l’occasion pour dévoiler une grande surprise : la présentation officielle du projet Rogers, une puissante moto inspirée des Cafés Racers des années 1950, entièrement électrique, capable d’atteindre 130km/h et dotée d’une autonomie de 300kms.
Mathieu : artiste, designer et ingénieur
« Rayvolt est née presque par hasard » aime-t-il rappeler. « Je roulais toujours sur des motos « vintage » et un soir, alors que j’étais en Thaïlande, j’ai eu une fièvre de plus de 40 degrés ! J’ai eu des hallucinations, et là, j’ai vu des vélos « vintage » électriques. Le lendemain, je prenais un crayon et dessinais mes premiers projets » se souvient-il. D’abord photographe à San Francisco, puis skipper et webdesigner à Barcelone, Mathieu s’est lancé dans l’ingénierie navale. « Je voulais absolument être capable de concevoir des yachts et des surfs, ma véritable passion ».
Il n’a pas laissé tomber le surf. Bien au contraire. Mais Rayvolt est ma priorité car j’ai au fond de moi, cette envie d’être utile et responsable pour la société. Or, la mobilité durable et le respect de l’environnement, c’est aujourd’hui une urgence dans nos sociétés ». C’est ainsi qu’il fonde Rayvolt en 2016, avec trois collaborateurs tout aussi passionnés que lui. « Le nom de Rayvolt m’a été inspiré par les rayons du soleil (Ray) et l’unité électrique (Volt) ». Combinés, ils créent Rayvolt, clin d’oeil au caractère révolutionnaire du concept.
La marque s’inscrit dans une logique de transport alternatif et visionnaire, d’énergie propre mêlant mode de vie urbain high-tech et haut de gamme durable. Six ans après, cette start-up dynamique qui compte désormais quatorze salariés, est basée dans le quartier artistique du Born à Barcelone. Et change de nom : Renaissance2.0, qui recouvre à présent Rayvolt et eXXite. « C’est pour moi une allégorie à la renaissance historique avec un accent technologique » conclue Mathieu, qui bien sûr, rejoindra ses bureaux sur sa LaX !
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