Au moment des grands départs en vacances, et plus encore pour les trop tristement célèbres chassés croisés, plusieurs millions d’automobilistes seront sur les routes cet été. Et sûrement beaucoup d’entre eux seront en famille, souvent avec des tout-petits. A l’occasion du lancement de leur nouveau siège-auto révolutionnaire, l’Anoris T2 i-Size, c’est au Castellet que nous avons rencontré cette entreprise leader en matière de sécurité, l’élégance en plus.
Le circuit du Castellet peut sembler un endroit étrange quand ce n’est pas la vitesse qu’il convient de mettre en avant quand on parle de déplacements automobiles, mais c’était pourtant bien le lieu adéquat pour rouler en toute sécurité et comprendre ce que peuvent ressentir nos chers marmots engoncés dans leur siège auto. Pour se faire, c’est en Tesla que nous avons embarqué sur le circuit d’essais Oreca, parfait pour appréhender la route. Route et sécurité, c’est sûrement un pléonasme comme un oxymore. La route c’est nous qui la prenons et la sécurité, nous qui la gérons. En la matière, j’ai d’abord appris que, contrairement à ce que je croyais, et que trop de parents semblent ignorer les enfants doivent voyager « dos à la route » jusqu’à l’âge de 15 mois minimum (4 ans étant le meilleur choix) et 76 cm, et obligatoirement à l’arrière jusqu’à 10 ans (81 % des enfants sont « mal installés » et le risque en cas d’accident est augmenté de 50 % !). Le principe c’est : une place, un siège (Ne pouvant être occupé que par une seule personne), une ceinture. Il est interdit de transporter un enfant de moins de dix ans aux places avant de tous les véhicules, sauf : -si le véhicule ne comporte pas de siège arrière ou de ceinture de sécurité à l’arrière, si les sièges arrières du véhicule sont momentanément inutilisables ou occupés par des enfants de moins de 10 ans correctement attachés, s’il est installé dos à la route dans un siège prévu à cet usage et que l’airbag a été désactivé. (Le conducteur qui ne respecte pas ces obligations peut être sanctionné par une amende de 4 ème Classe pouvant aller jusqu’à 750 €).
A l’occasion de cette présentation, nous avons rencontré Etienne Engrand, le dirigeant de l’entité « France- Belgique – Luxembourg » (46 personnes), de ce groupe fondé par le tchèque Martin Pos qui a fusionné avec le groupe chinois GoodBaby Holding Limited basé à Shangaï, mené par Monsieur Song. A noter que le groupe compte 11 000 personnes réparties dans 9 usines dans le monde, le siège monde étant en Allemagne. Un chiffre parle particulièrement dans le groupe, c’est celui du nombre d’ingénieurs : près de 500 ! D’autres chiffres sont éloquents quand ils affichent 1000 crash tests réalisés pour chaque brevet, à raison d’une vingtaine par jour.
Dès lors, on comprend mieux que cette entreprise tienne le haut du pavé dans le domaine de la sécurité et de l’innovation, sans compter que les produits sont particulièrement soignés et beaux à voir. Dans le détail, Cybex se démarque par plusieurs points importants comme l’appui- tête inclinable (La tête de l’enfant est 7 fois plus protégée en cas d’accident), le harnais et la têtière ajustable (Pour suivre la croissance de l’enfant), la protection contre les impacts latéraux (Associé à une coque d’absorption d’énergie, il réduit les forces d’un impact jusqu’à 25 % selon le modèle), le bouclier réglable sur l’Anoris T2 Size (Pour info il y a quatre modèles de sièges auto, les 3 autres : Cloud Ti Size, Sirona Ti Size et Solution Ti Fix ayant leur propre technologie sécuritaire ; la jambe de force et isofix (Avec voyant de contrôle dans la base confirmant la bonne installation),l’inclinaison à plat des coques auto avec ses poignées d’inclinaison, et bien sûr l’airbag (caché dans le bouclier) pour ajouter encore 25 % de protection supplémentaire. Certes ces systèmes ont un prix, de 249,95 à 749,95 € le siège auto, mais la sécurité est optimum. Et comme le répète Etienne Engrand, « un siège auto n’est pas une option, nous vendons le meilleur moyen de protéger un enfant ». Et de rappeler qu’en cas de choc, même si le siège auto n’a pas été touché, il est « impératif » de le changer. Quant à l’acheter d’occasion, ce n’est pas du tout ce qu’il préconise, loin de là.
Dans le même temps, nous avons assisté à une présentation de poussettes Cybex. La sécurité est encore au rendez-vous, même si les conditions d’utilisation sont en principe plus rassurantes. Elles sont quand même particulièrement réussies et très design. Décidément ces gamins-là ont particulièrement de la chance. Mais ne veut-on pas toujours le meilleur pour nos enfants chéris
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