Biologique Recherche, un ambassadeur du Made in France en Suisse de plus en plus visible

Chez Biologique Recherche, le choix des mots est très important. « Ambassade de beauté » au lieu d’institut, « Diagnostic Instant de Peau© », soins « P50, VIP O2, Biofixine ou masque Vernix »…, la pépite française a toujours voulu se démarquer. Une stratégie payante à mettre principalement sur le compte de ses protocoles esthétiques révolutionnaires qui ont pour adepte une large communauté, d’Hollywood à l’écrin du Ritz Paris. La griffe tricolore est à présent bien décidée à se tailler des parts de marché en Suisse, confiant son développement à Tatiana Borysova. Un pays pas facile car il faut s’imposer face à des géants établis. Rencontre à Zurich à l’Ambassade Biologique Recherche.

Vous avez contribué à implanter Biologique Recherche en Suisse, une marque française venue chasser sur les terres de grands noms du pays. Qu’est-ce qui vous a conquis chez Biologique Recherche ?

Tatiana Borysova : J’ai toujours été sensible à l’univers de la beauté, des cosmétiques et du bien-être. Depuis que j’ai 14 ans, je fréquente les spas ! Un jour, j’ai essayé un soin Biologique Recherche et j’ai observé des résultats spectaculaires sur ma peau acnéique. Une amie m’avait offert la lotion P50 qui s’est révélée très efficace. Aussi excellentes soient-elles, les belles griffes suisses ne combinent pas cosmétologie et soins dans leurs formulations, elles ne me correspondaient pas. De fait, j’ai voulu comprendre la spécificité de Biologique Recherche alors je me suis rendue au siège à Paris.

Où se situe la différence Biologique Recherche ? 

En premier lieu, dans le profil des fondateurs : Yvan Allouche et son épouse Josette, étaient respectivement biologiste et physiothérapeute. Ce n’étaient donc pas des industriels qui se sont lancés dans le business de la cosmétique, mais des scientifiques. Sur place, j’ai découvert la méthodologie. L’enseigne conçoit et fabrique ses produits et protocoles exclusivement en France. Les formules inédites sont fortement dosées, et uniquement composées d’actifs naturels ou biotechnologiques sans parfum. Le P50 constitue l’un des piliers, cette lotion accélère le processus naturel d’exfoliation de la peau, la reconstruction du bouclier épidermique, régule la sécrétion excessive de sébum, hydrate et aide à maintenir le pH. J’ai ainsi découvert que de nombreuses célébrités ne faisaient pas mystère de son usage.

En tant qu’entrepreneure, ma visite n’était pas complètement désintéressée. En effet, je ne comprenais pas pourquoi Biologique Recherche était absente du marché suisse, une destination tellement stratégique ! J’ai donc ouvert des discussions avec les responsables pour envisager une implantation.

Comment expliquiez-vous l’absence de Biologique Recherche dans ce pays voisin ? 

La Suisse n’était pas un objectif prioritaire car il y avait déjà des marques iconiques ici. Tout est aussi question d’opportunités et de feeling, la famille Allouche avait besoin de s’appuyer sur un bon relais sur place. Après ma visite parisienne, j’ai décidé de rédiger un article sur le sujet dans le magazine Must, une publication distribuée dans les palaces en Suisse. Mon article est tombé entre les mains du directeur de l’établissement Alpina Gstaad qui allait bientôt être inauguré.

J’ai été contactée par une responsable qui souhaitait travailler avec cette marque française pour son spa. Tout s’est accélérée après…je me suis retrouvée à me poser comme « ambassadrice de Biologique Recherche », ce qui a conduit l’entreprise à me faire confiance en se lançant sur le marché. Comme en France, la Suisse c’est une clientèle locale et internationale à l’année.

Après l’Alpina Gstaad, comment avez-vous pu continuer votre expansion dans l’industrie hôtelière de luxe ?  

L’un de mes premiers clients était l’emblématique Four Seasons Genève Les Bergues, une adresse de légende fréquentée des élites du monde entier. Cette collaboration m’a permis d’établir ma réputation. J’ai ensuite collaboré avec le Montreux Palace, le Royal Savoy Lausanne, l’hôtel Bürgenstock et, tout aussi prestigieux, le Badrutt’s Palace à Saint-Moritz. En parallèle, la demande pour les traitements Biologique Recherche a continué à grandir, j’ai finalement décidé d’ouvrir mes deux maisons-mères de la marque, l’Ambassade Biologique Recherche Genève et Zurich.

Tatiana Borysova : « Notre différence commence par le profil des fondateurs : Yvan Allouche et son épouse Josette, étaient respectivement biologiste et physiothérapeute. Ce n’étaient donc pas des industriels qui se sont lancés dans le business de la cosmétique, mais des scientifiques.« 

 

Par rapport aux spas d’hôtels, à quelle expérience s’attendre dans les « ambassades Biologique Recherche » ?

Tout ! Dans les établissements hôteliers, nous sommes limités en termes de traitements et de machines, à l’inverse de nos ambassades qui dispensent toute la palette de notre expertise. On peut également se procurer l’ensemble de nos produits, d’ailleurs nos trois best-sellers sont souvent en rupture de stock : le P50, le masque Vernix et la gamme VIP O2 et Biofixine. Dans notre nouvelle adresse à Zurich, le retour de nos clients est incroyable ! Formée à la méthodologie Biologique Recherche, l’équipe de l’Ambassade de Zurich est au service de ceux qui souhaitent vivre une expérience performante et différente. 

Une évaluation approfondie de la peau est d’abord réalisée. En fonction de cette analyse, le protocole de soin personnalisé à votre Instant de Peau© est appliqué. Réparties dans les étages, les cabines de soins simples et doubles vous accueillent dans une atmosphère réconfortante. 

L’Ambassade Biologique Recherche de Zurich a aussi la particularité de se situer dans une rue exclusivement dédiée au bien-être dans toute son expression : esthétique, forme, santé, nutrition, c’est la rue Freigutstrasse…une sorte d’Avenue Montaigne du bien-être. Nous ne pouvions qu’être installés ici dans cet hôtel particulier au charme zurichois typique du XIXème siècle. L’expérience est encore plus privative et exclusive.

Certains hôtels ont développé leurs propres cliniques, ils vont au-delà de l’expérience spa jusqu’à proposer des procédures esthétiques. Pensez-vous vous convertir à cette tendance ?

Etant très présents dans les zones montagneuses, nous devons éviter les traitements abrasifs qui ont recours au laser à cause du contraste froid / chaud, neige / soleil. La peau est donc davantage fragilisée. Le réchauffement climatique est aussi une réalité en altitude avec beaucoup plus d’ensoleillement. Il faut principalement nourrir la peau, ne pas altérer la pigmentation, en conséquence, en cas de recours au botox, le produit peut migrer à l’intérieur, hors de la zone d’injection. Je me suis entretenue avec des docteurs qui ont été catégoriques sur le sujet.

Dans ces localisations, on observe que les clients plébiscitent plutôt nos traitements avancés comme la mésothérapie et la machine Micro-Puncture Lab. Cette technologie opère une micro stimulation intraépidermale de la production de collagène de la peau, pour un effet adoucissant et régénérant grâce à la pénétration du Cocktail d’Actifs Régénérants, un sérum chargé de 58 ingrédients actifs comme les peptides, les acides aminés, les vitamines et les minéraux. Notre Body Lift breveté rencontre aussi beaucoup de succès, d’ailleurs c’était le traitement préféré du fondateur Yvan Allouche. Après ces soins, les résultats sont immédiatement visibles.

Quels sont vos projets en 2023 ?

Travailler continuellement à maintenir le même niveau d’expertise et les mêmes standards d’excellence dans chacune de nos adresses. La cliente d’aujourd’hui ne veut pas de « papouilles », elle exige de l’efficacité et veut voir un avant / après. Je vais également axer mes efforts sur la mise en lumière de nos ambassades car nos hôtels sont, eux, déjà mondialement connus.

Pour aller plus loin :

Ambassade Biologique Recherche de Zurich

Freigutstrasse 10

8002 Zürich

Suisse

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