Audi A5 Sportback : Limousine Pour Gentleman Driver

Quelques chiffres pour positionner notre monture de ce jour : La première génération de l’Audi A5 Sportback remonte à 2009. À ce jour, plus de 340 000 A5 Sportback ont été vendues dans le monde.

En France, l’A5 Sportback représente 75% des ventes de l’Audi A5, soit plus de 25 000 A5 Sportback livrées depuis 2009.

Notre Audi A5, dans sa variante Sportback 4 portes, est très séduisante. Sa nouvelle calandre et ses deux nervures qui entourent le Power Dome lui procurent une allure d’athlète. Ses feux arrières affinés à LED  lui donnent un look bien trempé.

C’est dans les lacets des Cévennes qu’Audi nous propose d’essayer cette dernière livrée. Je vais tester le concept Quattro, qui a rendu célèbre la marque aux anneaux sur les routes du rallye de Monte-Carlo…

Rendez-vous à l’aéroport de Montpellier où se trouvent plus de 10 modèles, Essence et Diesel, dont une version S5 avec un TFSI de plus de 350 Chevaux. Je prends place dans un modèle 2.0 TFSI 252 ch quattro S tronic 7.

Prise en main 

Intérieur impeccable, finitions à la hauteur de la réputation de la marque et équipements très complets avec le Virtual Cockpit et sa dalle numérique de 12,3 pouces. Mon modèle, bien chargé en options, embarque également à bord l’Adaptive Cruise Control Stop & Go avec fonction de conduite en embouteillage ainsi que l’Active Lane Assist  qui aide le conducteur à maintenir confortablement sa trajectoire entre 60 et… 250 km/h. Oui, vous avez bien lu, 250 km/h!

Dernier petit détail et non des moindres, notre modèle est équipé en phares Full LED, technologie innovante qui associe un système de caméra avec des sources lumineuses à LED et un système optique précis pour une diffusion lumineuse extrêmement bien adaptée.

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Une pression sur le bouton Marche/Arrêt et c’est parti. Je sors du parking de l’aéroport, et direction les Cévennes et ses fameux lacets avec, comme prévu sur notre roadbook, un détour par le cirque de Navacelles.

Début de parcours sur l’autoroute afin de rejoindre l’itinéraire concocté par Audi France. Cette partie de trajet nous offre la possibilité de tester l’Adaptive Cruise Control  ainsi que le « lane assist ». C’est un pur bonheur. Plus besoin de mettre le pied sur la pédale de frein et l’accélérateur. L’ordinateur calcule en permanence la bonne distance à l’aide des multiples capteurs. On accélère ou décélère en fonction du flot de la circulation.

Je sors de l’autoroute pour attaquer ces fameux lacets. Les différentes « aides à la conduite » sont maintenant désactivées. Je reprends le contrôle de l’engin afin de pouvoir tester ses capacités dynamiques sur une route dégagée. Une bonne pression sur la pédale et le TSFI de 252 CV répond présent et je m’envole jusqu’au prochain virage. La fonction Quattro officie avec une religieuse efficacité, j’enchaîne les lacets à vive allure, le tout avec une aisance déconcertante.

Il est presque impossible de mettre notre belle du jour à défaut. Les ingénieurs de la marque aux anneaux ont réussi la prouesse de faire virevolter leur limousine, qui accuse près de 2 tonnes sur la balance, comme une petite sportive coupé.

J’effectue le reste du parcours à allure plus raisonnable, en profitant de l’acoustique audio très soignée.

Malheureusement, il est déjà temps de ramener l’Audi A5 Sportback, les souvenirs et les sensations de cette sortie resteront bien gravés dans mon esprit.

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