Christian Dior, Couturier du rêve aux Arts Décoratifs
Une rétrospective qui célèbre les 70 ans de la création de la Maison Christian Dior. Au programme, plus de 300 robes Haute Couture, un retour sur les parcours de Christian Dior et des directeurs artistiques qui lui ont succédé : Yves Saint Laurent, Marc Bohan, Gianfranco Ferré, John Galliano, Raf Simons et Maria Grazia Chiuri, les collections de Haute Fourrure de Frédéric Castet, les parfums de Serge Lutens et du Nez François Demachy, les robes inspirées de la culture académique du ballet classique, Granville et le tailleur Bar de la période « New Look« . Le tout scénographié par Nathalie Crinière qui met en scène des ambiances de galerie d’art, de boudoir et de jardins merveilleux. Enfin, la Nef du musée des Arts Décoratifs se transforme pour l’occasion en salle de bal pour présenter de somptueuses robes du soir portées par la princesse Grace de Monaco, Lady Diana, Charlize Theron (l’égérie de J’adore) ou encore Jennifer Lawrence. Pour cet ambitieux projet, la plupart des œuvres présentées sont issues du fonds Dior Héritage auxquelles s’ajoutent les prêts provenant des collections du Musée des Arts Décoratifs, du Palais Galliera, du Victoria and Albert Museum de Londres, de la Fondation Pierre Bergé Yves Saint Laurent ou encore du Musée Christian Dior de Granville.
Informations pratiques : Du 5 juillet 2017 au 7 janvier 2018 – 107 Rue de Rivoli, 75001 Paris
Joaquin Ferrer à la Maison de l’Amérique latine
50 ans après sa première exposition parisienne, la Maison de l’Amérique latine consacre l’intégralité de ses espaces d’exposition à l’artiste cubain Joaquin Ferrer. Cette rétrospective présente 110 peintures et dessins de l’artiste, de sa jeunesse à La Havane jusqu’à son atelier parisien actuel. En 1968, le Quartier Latin de Paris accueillait déjà certaines de ses oeuvres abstraites mêlant géométrie et formes organiques définissant son style, désormais reconnaissable entre mille. Marginal, Joaquin se tient en retrait des groupes et mouvements de son époque et commence à peindre dans sa ville natale de Manzanillo puis à La Havane où il expose dès le milieu des 50’s. A l’instar de ses amis Agustin Cardenas et Jorge Camacho, il s’inspire d’abord du surréalisme puis du peintre cubain Wilfredo Lam, combinant matière vive et tissus végétaux.
Informations pratiques : Du 30 mai au 9 septembre 2017 – 217 Boulevard Saint-Germain, 75007 Paris
Marilyn Monroe, « La dernière séance » au DS World
Cette exposition inédite montre les images de la dernière séance photo de la légendaire Marilyn Monroe. 59 images capturées pour le magazine Vogue en 1962, six semaines avant son décès, s’exposent aux quatre coins du DS World situé en plein coeur du Triangle d’Or parisien. La mise en scène signée Hubert Le Gall fait honneur aux clichés de Bert Stern, célèbre photographe qui a travaillé sur le « Lolita » de Stanley Kubrick et qui a immortalisé Audrey Hepburn, Madonna ou encore Elizabeth Taylor. Pour ce shooting, Marilyn passa deux jours et une nuit dans un appartement en compagnie des équipes du Vogue.
Informations pratiques : Du 8 juin 2017 au 6 janvier 2018 – 33 Rue François 1er, 75008 Paris
La pierre sacrée des Maori au Musée du Quai Branly – Jacques Chirac
La nouvelle exposition de la mezzanine du musée du Quai Branly se consacre à l’importance du jade chez les Maori de Nouvelle-Zélande. Une centaine de pierres, taillées ou brutes, permettent de mieux envisager les nombreuses facettes de cette culture et de son peuple fasciné par l’or vert de Chine, cette pierre mystique qui protégerait et veillerait sur ses habitants… Pour les Maori, cette pierre sacrée baptisée Pounamu, apparaissant le long des fleuves de l’île du Sud, porte chance : si quelqu’un vit un événement important, heureux ou malheureux, il l’emprunte pour la porter. Les trésors de l’exposition sont prêtés par le musée Te Papa Tongarewa de Wellington.
Informations pratiques : Du 23 mai au 1er octobre 2017 – 37 quai Branly, 75007 Paris
Portraits de Cézanne au Musée d’Orsay
Le musée d’Orsay accueille une belle collection de portraits peints par Paul Cézanne. Cette dernière fait écho à la rétrospective de la Fondation Pierre Gianadda à Martigny, en Suisse. L’occasion d’en apprendre davantage sur la vie du peintre provençal qui représente sa femme, ses amis artistes, son jardinier et lui-même à travers 26 autoportraits. Si certaines oeuvres se ressemblent, cela traduit l’obsession et le perfectionnisme de Cézanne qui s’interrogeait sur la ressemblance et la vérité des formes.
Informations pratiques : Du 13 juin au 24 septembre 2017 – 62 rue de Lille, 75007 Paris
Sites internet
lesartsdecoratifs.fr
mal217.org
dsworld.paris
quaibranly.fr
musee-orsay.fr
Le luxe vous intéresse ? Abonnez-vous à notre newsletter www.luxe-magazine.com et suivez-nous sur les réseaux sociaux ! Instagram, Facebook, Twitter et Linkedin.
Vous avez aimé cet article ? Likez Forbes sur Facebook
Newsletter quotidienne Forbes
Recevez chaque matin l’essentiel de l’actualité business et entrepreneuriat.
Abonnez-vous au magazine papier
et découvrez chaque trimestre :
- Des dossiers et analyses exclusifs sur des stratégies d'entreprises
- Des témoignages et interviews de stars de l'entrepreneuriat
- Nos classements de femmes et hommes d'affaires
- Notre sélection lifestyle
- Et de nombreux autres contenus inédits
