Les nouvelles technologies révolutionnent actuellement le secteur du bâtiment. Concrètement, cette situation se traduit par le fait que de plus en plus de bâtiments sont connectés. Selon des études récentes menées par Gartner, 50 à 80 milliards d’objets connectés envahiront les bâtiments à travers le monde en 2020. Les entreprises comme Oecko contribuent à la démocratisation des objets connectés et ambitionnent d’inclure leur usage dans le quotidien de tous les particuliers et les entreprises. Thomas Dujardin, fondateur de l’entreprise Oecko, apporte des précisions sur les solutions que propose son entreprise pour promouvoir l’habitat connecté.

 

Par définition, un objet connecté est un appareil connecté à internet, permettant de recueillir des données et de les transmettre sur le web. L’usage de certains objets connectés est limité à la collecte de données. D’autres permettent d’agir avec l’environnement comme les boutons connectés, la sonnette, etc. En tout cas, les objets connectés envahissent progressivement le quotidien. Encourageant cette tendance, le recours à ces objets assure des avantages écologiques et permet aux entreprises d’améliorer leur image. Les objets connectés génèrent une masse conséquente de données qui n’est pas automatiquement disponible auprès des utilisateurs. Cette contrainte entraîne une forte demande en communication auprès des particuliers et des professionnels dans le secteur du bâtiment.

La vocation de l’entreprise Oecko est de gérer le flux des données générées par les nouvelles technologies du secteur du bâtiment. Le cœur de métier de cette entreprise est d’assurer la diffusion d’informations pour le compte des bailleurs sociaux et des gestionnaires de logement qui se trouvent dans les collectivités ainsi que dans les agglomérations urbaines. Pour ce faire, cette entreprise propose des outils de gestion à distance des objets connectés pour permettre une circulation facile des données entre utilisateurs. Présent en France, en Belgique et en Luxembourg, Oecko envisage de se développer davantage à l’international.

 

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