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Assurance Crédit : Zoom Sur L’Aide Financière Pour Monter Sa Boite

Vous souhaitez connaitre les différents types d’aide financière pour la création d’entreprise en 2018 ? Cela tombe bien, car c’est justement ce dont parlera cet article, mais pas que ! L’importance de l’assurance crédit y sera également abordée ; lisez plutôt

L’aide financière pour la création d’entreprise en 2018

Le montage d’un projet de création d’entreprise se traduit par la succession de plusieurs démarches et étapes indispensables. De la validation de l’idée d’affaire au business plan en passant par le montage financier et le choix des options de création de la structure, il s’agit réellement d’une construction. Cela dit, même si l’idée d’affaire est ingénieuse et que le business plan est des plus impeccables, le financement est nécessaire pour démarrer et pour continuer à fournir des prestations. Parallèlement, l’assurance crédit est un détail important à ne point oublier. Zoom sur l’aide financière pour la création d’entreprise en 2018 !

De quel appui financier peut-on bénéficier pour créer son entreprise ?

Il existe plusieurs types d’aides financières pour la création d’entreprise. Celles-ci sont de divers ordres et s’octroient en fonction du profil d’entrepreneur.

Les aides sociales

Dans cette catégorie, on retrouve en premier l’ACCRE (Aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprises). Cette dernière permet d’avoir une exonération des cotisations dues aux régimes d’assurance auquel l’entrepreneur est redevable, et ce, pendant 12 mois. Ce dégrèvement n’englobe cependant pas la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution à la réduction de la dette sociale (CRDS). Mais déjà, quel que soit le type d’aide, l’assurance crédit est indispensable à la viabilité d’une entreprise, en témoignent les termes de l’Assurance crédit Coface.

En dehors de l’ACCRE, il y a l’ARCE (Aide à la reprise ou à la création d’entreprise). Elle correspond à 45% du montant du reliquat des allocations chômage et est versée en deux temps. Le premier versement se fait au début de l’activité puis le second six mois après, sur demande de l’entrepreneur. Toutefois, pour en bénéficier, il faut avoir préalablement obtenu l’ACCRE.

Les autres types d’aides

Outre les aides précédemment évoquées, il existe également d’autres dispositifs financiers pour la création d’entreprise en 2018, qui, malgré leur souplesse ne dispensent pas de l’assurance crédit (en savoir plus sur magazine-assurance.fr) C’est le cas du parcours NACRE, ayant pour but de soutenir les entrepreneurs de sorte à favoriser leurs chances de réussite. Il se caractérise par un accompagnement personnalisé avant ou pendant le processus de création d’entreprise. Les modalités varient néanmoins en fonction de la zone géographique, car le dispositif est désormais géré par les régions.

Par ailleurs, il y a les crédits solidaires qui ont été mis en place pour aider les entrepreneurs qui connaissent des difficultés dans leur recherche de financement. Sécurisés par une assurance crédit, ils sont octroyés par l’Association pour le droit à l’initiative économique (AIDE) ou par la Société coopérative de finances solidaires. Les montants sont variables, selon qu’il s’agit d’un micro-crédit ou d’un prêt d’honneur.

En outre, on a le dispositif BPI France (Banque publique d’investissement). Organisme sous tutelle de l’Etat, la BPI accompagne les créateurs d’entreprise dans leur quête de financement et propose diverses solutions pour soutenir les projets auprès des établissements bancaires. L’aide financière ici prend la forme d’une subvention qui permet de financer les dépenses en lien avec le lancement du projet. Bien évidemment, il faudra souscrire une assurance crédit par la suite.

En quoi une telle mesure est-elle importante ?

L’assurance destinée à couvrir un crédit est une solution de gestion du poste clients qui préserve les entreprises contre les pertes occasionnées par le non-paiement des factures. Plus précisément, il s’agit d’un outil de pilotage de risques qui englobe trois services complémentaires :

  • l’information sur la solvabilité financière des clients et prospects,

  • le recouvrement des impayées

  • l’indemnisation des créances garanties.

A ce propos, il est important de préciser que 25% des faillites sont causées par les factures impayées. L’impact sur le chiffre d’affaires étant non négligeable, l’assurance crédit constitue de fait une précaution majeure.

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