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Passez les Fêtes au Meurice, quand le luxe rencontre la féérie….

Meurice

Au 228 rue de Rivoli, le premier palace parisien trône fièrement sur les jardins des Tuileries. À cette période de l’année d’émerveillement et de féerie, le Meurice a tout mis en œuvre pour faire vivre en son sein la magie de Noël.


De la décoration des espaces aux plats servis, le Meurice a tout repensé dans un esprit festif. Fidèle à son aura d’artiste, le repaire de Salvadore Dalí a troqué son traditionnel sapin contre un arbre de Noël somptueusement décoré suivant des tonalités blanches et or. Décalé, tout en respectant l’âme de l’hôtel royal d’antan, le Meurice regorge de petites allusions aux célébrations de fins d’années comme un sapin coupé en deux et dont l’intérieur scintille, les chambres aussi ont revêtu leurs tenues de fêtes, nombreuses sont celles qui se sont paré d’un sapin qui se fond parfaitement dans l’univers luxueux imaginé par le couple de décorateurs Laly & Berger.

 

Meurice

 

Pour Noël, le Maurice a aussi revisité ses assiettes. Les deux restaurants mythiques du palace, réaménagés par Philippe Starck en 2016, ont prévu des soirées spéciales pour les soirs de réveillon. Doublement étoilé par le guide Michelin et sous l’égide d’Alain Ducasse; le chef Amaury Bouhours a concocté pour Le Meurice et Le Dali, des menus festifs et chaleureux, dans le respect des valeurs qui lui sont chères, telles que la traçabilité de ses produits, le respect de la nature et des saisons en circuit court de préférence, le tout dans une cuisine simple et raffinée. Les mets s’accompagnent de bons crus sélectionnés par Gabriel Veissaire, sommelier auvergnat qui a fait ses armes chez Guy Savoy. Pour les desserts de Noël, le Meurice a élaboré avec leur chef pâtissier deux desserts, une bûche aux trois citrons, jaune vert et noir, le tout recouvert d’une ganache au yu zu ,un agrume originaire d’Asie, et un second dessert, qui ravira les passionnés de chocolats, en forme de cabosse de cacao.

 

Meurice

 

En plus des repas de fêtes, le bar anglais du palace des artistes repousse les limites. Pour cette période propice à l’émerveillement, du 2 décembre au 2 janvier, le 228 laisse ses portes ouvertes plus longtemps pour que ceux qui s’y trouvent puissent profiter plus longuement de leurs soirées, et de déguster des cocktails signature de la maison ainsi que des raffinés tous imaginé autour de la truffe, le tout sous l’œil caché de celui qui a occupé le lieux durant 30 ans, Salvadore Dalí. 

 

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