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L’INFO ➡ Ce lundi 21 novembre, Meta a annoncé la mise en place prochaine de nouvelles fonctionnalités de protection des adolescents ayant recours à ses plateformes Facebook et Instagram. L’objectif : restreindre le contact entre ces jeunes et des personnes adultes ainsi que renforcer la censure d’images intimes d’adolescents.
Meta was fined roughly $400 million for breaking EU data privacy laws for its treatment of children’s data on Instagram, the latest move by authorities in Europe and the U.S. related to child protection online.https://t.co/YUHL6hYRAC
— The New York Times (@nytimes) September 5, 2022
La première fonctionnalité prévoit de cataloguer des comptes d’adultes comme « suspects » si ces derniers ont été bloqués ou signalés par un mineur. Le retrait du bouton « Écrire » est d’ailleurs en test sur Instagram pour empêcher ces comptes à risque de contacter des mineurs. Ils ne seront pas non plus affichés dans la liste de recommandations de contact « Vous connaissez peut-être ».
Le groupe dirigé par Mark Zuckerberg a aussi dévoilé son souhait d’encourager le recours de ses outils de sécurité auprès des plus jeunes, notamment en les incitant à bloquer puis signaler un compte suspicieux. Des informations utiles sous forme de notifications vont aussi être partagées, en partenariat avec le National Center for Missing and Exploited Children (NCMEC) pour les aider à savoir comment réagir face à des messages inappropriés.
En parallèle, tous les nouveaux comptes sur Facebook créés par des utilisateurs de moins de 16 ans (moins de 18 ans pour certains pays) seront paramétrés par défaut avec des critères de confidentialité plus stricts. Sur Instagram, ce type de mesure avait déjà été instaurée dès 2021.
LE CHIFFRE ➡ 42% des spectateurs dans les stades sportifs au niveau mondial sont opposés aux robots-arbitres. C’est ce que révèle une nouvelle étude du fournisseur de cloud Oracle, publiée en amont du lancement de la Coupe du monde pour mieux comprendre les attentes des spectateurs dans les stades en matière de technologie. Si l’Allemagne (58 %), l’Italie (53 %), l’Espagne (52 %), l’Australie (50 %) et la France (48 %) arrivent en tête des pays les plus opposés à un corps arbitral constitué de robots, deux pays ont largement déclaré « adorer l’idée » : la Chine (54 %) et les Émirats arabes unis (53 %).
Au-delà de l’arbitrage, certains cas d’usage technologiques sont bien moins clivants : 58 % des spectateurs dans les stades aimeraient par exemple pré-commander des repas et des boissons et 31 % sont prêts à payer un supplément pour commander à l’avance un repas si cela leur permet d’éviter une file d’attente.
De la même manière, 34 % aimeraient utiliser leur empreinte digitale, plutôt qu’un ticket, pour accéder au stade ; 26 % (la préférence N°1) souhaitent consulter les statistiques sportives depuis leur appareil mobile et enfin 43 % adoreraient pouvoir interagir avec leurs équipes favorites ou leurs artistes préférés dans le métaverse, chiffre qui augmente chez les millenials (57%).
*Les pays étudiés, outre la France, sont l’Allemagne, l’Australie, le Brésil, la Chine, les Émirats Arabes Unis, l’Espagne, les États-Unis, l’Italie, le Mexique et le Royaume-Uni.
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