À quelques mètre du célèbre parc Monceau, La Maison Lutetia s’impose comme l’une des cliniques de médecine esthétique les plus emblématiques de la capitale. Spécialisée dans les traitements de rajeunissement et de remodelage du visage et du corps, cette clinique de pointe offre une large gamme de traitements non invasifs et sans douleur, ainsi que des soins personnalisés de qualitée supérieure. Entre Entrepreneuriat et médecine esthétique, rencontre avec Nathanael Aknine.
Pouvez-vous nous parler de vous, Nathanaël Aknine ?
Mon envie d’être au service des autres et de les surprendre dans les moindre détails a permis de faire de la Maison Lutétia un lieu d’excellence avec beaucoup d’empathie et de bienveillance, un lieu où la personne la plus importante, c’est vous !
Très jeune, j’ai quitté la France pour vivre une quinzaine d’années à l’étranger, en Australie, en Asie, au Moyen Orient, en Afrique et en Amérique Latine…Cela forge une certaine ouverture d’esprit. J’aime découvrir de nouvelles choses et creuser chaque sujet pour apprendre, décortiquer et ensuite trouver les axes d’amélioration pour approcher la perfection. Cela se retrouve notamment dans le service de greffe capillaire de la Maison Lutétia où le moindre détail est pensé pour être et demeurer le plus performant au monde.
Pour revenir à mes voyages, c’est au Japon où j’ai habité 2 ans que j’ai découvert Paris. Il y a une admiration mutuelle des Français pour le Japon et des Japonais pour la France, mais les Japonais eux idéalisent tellement Paris et notre culture qu’il y a un nom pour décrire le trouble qui touche de nombreux voyageurs japonais qui se rendent compte en arrivant pour la première fois dans notre ville, que ce n’est pas vraiment le décor d’Amélie Poulain. On appelle ça le « syndrome de Paris » !
Issu d’une famille très modeste en banlieue parisienne, je ne connaissais pas vraiment la capitale et je suis moi aussi tombé sous le charme de Paris, cette ville incroyable et fascinante que l’on imaginait à 10.000 km de là.
A partir de là, je me suis intéressé à l’histoire de la capitale, à ses artisans passés et d’aujourd’hui et au savoir-faire à la française. Je me suis par exemple émerveillé en découvrant le travail des meilleurs ouvriers de France.
Plus tard, de retour en France, je voyais Paris avec les yeux d’un touriste étranger dans un petit studio de 13m2 que je me suis acheté adossé aux Arènes de Lutèce, dans le Vème arrondissement… Les Arènes de Lutèce … C’est un peu là où l’histoire de la Maison Lutétia a commencé. Et après un bref passage dans le cabinet de conseil Bains & CO avenue Montaigne, j’ai aidé quelques médecins à ouvrir leurs cliniques capillaires et esthétiques dans différents pays en Europe, au Moyen-Orient et au Maghreb.
Pourquoi avez-vous décidé de créer la Maison Lutétia ?
Pour opérer un changement nécessaire à la qualité du parcours patient. Je repense souvent aux cas de cliniques sur lesquels je travaillais il y a une dizaine d’années. Le patient devait attendre le médecin dans un couloir, mal assis sur une chaise en plastique avec des magazines Voici ou Gala vieux de 5 ou 10 ans et aux pages à moitié déchirées. Étrangement, la priorité semblait toujours être le confort du médecin plutôt que celui du patient. Cela me semblait déjà impensable à l’époque. C’est pourquoi j’ai voulu imaginer un univers ultra-parisien qui oscille autour des patients avec un service irréprochable, ce qui semble encore parfois manquer cruellement dans l’offre parisienne.
La quinzaine de médecins qui travaille à la Maison Lutétia fait heureusement partie de la nouvelle génération. Aujourd’hui, les patients ont besoin de plus de transparence, d’authenticité, de proximité et d’accessibilité vis-à-vis du personnel médical. A la Maison Lutétia, les consultations ne se font pas du tout face à un l’imposant bureau d’un médecin, mais plutôt côte à côte face à un miroir, parce que c’est vous la personne la plus importante dans la pièce. Empathie, goût du service et souci du bien-être des autres sont à mon sens des qualités primordiales chez nos experts.
La Maison Lutétia est depuis sa création experte en “reconstruction capillaire”. Aujourd’hui votre activité s’est développée, pouvez-vous nous parler du concept de la Maison Lutétia ?
En plus d’être le premier centre d’implants capillaires d’Europe avec plus de 2500 interventions de greffe capillaire chaque année, la Maison Lutétia est réputée pour sa médecine esthétique douce et non-invasive. En fait, ma vision de l’esthétique et de la beauté est très parisienne. Le style de la Parisienne est souvent décrit à l’étranger comme l’élégance “effortless”, provoquant une certaine fascination outre-Atlantique. Dans le monde de l’esthétique, il n’est pas rare de parler de la French Touch pour décrire des résultats ultra-naturels. Je pense que c’est la raison pour laquelle nous avons des patients qui viennent du monde entier.
Qu’est ce qui rends La Maison Lutetia si différente des autres cliniques ?
Par la qualité du service : La Maison Lutétia est un lieu de vie délicat, un écrin de bien-être cocooning et chaleureux. La qualité de service s’exprime aussi par la durée des consultations, bilan peau… Pour prendre le temps de connaître le patient.
Chez nous les détails comptent, tout est pensé pour faire de votre traitement une expérience unique. Un élément important est qu’ici nous ne proposons aucun soin que l’on ne réaliserait pas nous-mêmes. Et nous sommes formellement contre le concept de traitement “effet placebo”. Nos patients viennent pour obtenir des résultats : c’est précisément ce que nous avons à leur offrir.
Nous avons aussi eu la volonté de créer atmosphère unique : Il est important de créer une ambiance qui marque l’esprit. À la Maison Lutétia, tout a été choisi avec goût pour sublimer ce lieu de vie parisien, comme notre identité olfactive. L’objectif est que les patients s’y sentent comme chez eux, et profitent en même temps d’un moment d’évasion… Et ainsi leur donner envie de nous rendre à nouveau visite. Avec une décoration entre tradition et modernité, des parquets historiques… A l’extérieur un salon ouvert comme on en retrouve parfois au Moyen-Orient mais avec des codes de bistrot chic français. Au total, plus de 1000m2 sont consacrés au bien-être.
Nous avons été la première clinique esthétique à nous appeler “Maison” parce que c’est un lieu unique, cet hôtel particulier à deux pas du parc Monceau tout d’abord et cette famille d’experts bilingues à la pointe de notre domaine ont inspiré de nombreux cabinets médicaux parisiens et nous sommes fiers de tirer ce secteur vers le haut.
Dans votre établissement, l’innovation est au service de la médecine esthétique, pouvez-vous nous expliquer pourquoi être un pionnier dans les dernières technologies est si important ?
Il s’agit d’être en recherche constante d’excellence : nous participons à tous les forums internationaux. Toute l’équipe est d’ailleurs bilingue pour cette raison. À la Maison Lutétia, tous les traitements sont décortiqués avant d’être proposés au sein des plans de traitements sur-mesure, afin d’apporter une solution à toutes les problématiques esthétiques, avec des réponses technologiques adaptées à toutes les couleurs de peau, dans une démarche d’inclusivité.
Nous souhaitons proposer ce qui se fait de mieux en termes de traitements : Nous nous équipons des dernières machines pour proposer des traitements de dernière génération, et ainsi offrir des résultats élégants, naturels et modernes. À la Maison Lutétia, nous mettons constamment à jour notre plateau technique pour toujours proposer ce qui se fait de mieux dans tous les soins et traitements. Le dernier en date : le BodyLift, une combinaison de traitements pour à la fois lisser la cellulite grâce aux micro-ondes intelligentes et raffermir la peau en luttant contre le relâchement par l’action de la radiofréquence du Body RF. En fait, nous proposons autant de traitements qu’il existe de problématiques esthétiques, car nous voulons participer à l’épanouissement de tous nos patients, quels que soient leurs besoins.
Pour être honnête, certaines machines essentielles à la médecine esthétique moderne coûtent parfois jusqu’à 300 000 euros. Beaucoup de cliniques les conserveront entre 5 et 10 ans par souci de rentabilité. A la Maison Lutétia, c’est un peu différent : si demain une technologie supérieure arrive, nous la prendrons… Parce que nous faisons le choix de l’éthique et nos patients nous font confiance pour toujours leur proposer les dernières innovations.
Quels sont vos soins et traitements phares ? Comment choisissez-vous de les proposer ou non ?
Une consultation esthétique avec l’un de nos médecins experts permet de comprendre la problématique du patient et d’imaginer un plan de traitements sur-mesure. Notre Soin Signature by Lutétia, imaginé de A à Z selon les besoins cutanés du patient, est très apprécié. Ce soin porte nos valeurs d’excellence, en ce qu’il constitue une pause délassante incontournable, démontrant également l’importance d’une prise en charge personnalisée à nos yeux. Notre French Botox, technique d’injection exclusive de la Maison Lutétia, est aussi très demandé pour la réjuvénation naturelle et subtile qu’elle offre au visage. Les rides sont lissées, mais les émotions restent ! Le French Kiss, technique également exclusive d’injection d’acide hyaluronique au niveau des lèvres, permet de les sublimer en respectant le naturel des traits. Un résultat à l’opposé de celui de l’ostentatoire Russian Lips, qui n’a rien à voir avec notre ADN. La même méthode d’injection est répétée sur chaque patient, sans prendre en compte les spécificités morphologiques ! Résultat : on croise les mêmes visages partout… Quel dommage. Nous proposons également le MésoLift LED pour les personnes qui souhaitent arrêter de se maquiller. De la MésoLED capillaire pour ralentir la chute, stimuler la pousse et augmenter le diamètre du cheveu… Comme une cure de compléments alimentaires en mieux. Et bien d’autres choses.
Pourquoi miser sur la greffe capillaire ?
Un homme sur deux est touché par la calvitie. Certains considèrent toujours le sujet tabous et se sentent parfois encore honteux de vouloir corriger un trait esthétique déplaisant, beaucoup encore préfèrent s’exiler à l’étranger et s’offrir une greffe de cheveux low-cost. Une telle intervention n’est pas un acte anodin, elle nécessite des normes d’hygiène, des compétences médicales, une sensibilité artistique… c’est souvent à leur retour qu’on retrouve ces client pour “rattraper” une intervention raté manquant de naturel et pas toujours “rattrapable”… Ces actes de corrections de greffes capillaires représentent encore 30% de notre activité. La chute de cheveux étant souvent la préoccupation esthétique première des hommes. L’intervention est réalisée pour soi-même. C’est pourquoi j’ai voulu proposer à chacun l’expérience sur-mesure qu’il mérite pour retrouver de l’estime de soi, avec la méthode DHI, une technique de greffe capillaire non-invasive et sans cicatrice exclusive à la Maison Lutétia.
Quels sont vos challenges pour la suite?
Défendre notre idée du goût, tout en étant à l’écoute des nouveaux besoins. Savoir se montrer précurseur, sans céder aux tendances éphémères. Comme les Foxy Eyes extrêmes, la peau étant beaucoup trop tirée à l’aide de fils tenseurs. Ce n’est ni beau, ni bon pour les tissus qui subissent une tension trop importante. En fait, nos médecins n’accèdent pas à des demandes inadaptées par souci d’accompagner le patient de façon saine et sur le long terme. Leur but est de valoriser les atouts de chacun avec goût, justesse, et de préserver le charme à travers le temps.
Quel état d’esprit faut-il garder Alors?
Évoluer au gré des progrès de la science et de la technologie pour demeurer toujours premiers sur l’innovation.
Se demander qui sera le patient de demain. Aujourd’hui, la Maison Lutétia séduit différentes cibles : des personnalités mondaines, des sportifs professionnels, des personnalités publiques, mais aussi des adeptes du self-care en tout genre. En exportant la Maison Lutétia à Dubai, nous souhaitions amener notre savoir-faire à la française, bien que cela pouvait paraître challengeant car les locaux sont très avertis en ce qui concerne la médecine esthétique. Mais la discrétion propre à notre culture a su convaincre, et cela au-delà des frontières. Il s’agissait d’une demande autour de la mise en beauté subtile qui n’avait pas été prise en compte par les dubaïotes, qui ont plutôt un penchant pour l’extravagance.*
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