Bon Vivant et Abolis s’associent pour devenir les leaders européens de la production de produits laitiers sans animaux

Bon Vivant est la première start-up française de foodtech qui allie innovation et savoir-faire à l’européenne ; Abolis est une entreprise de biotechnologie industrielle de premier plan en Europe.

Ensemble, elles révolutionnent nos modes de production pour proposer des produits laitiers sans animaux, développés à partir de protéines de lait issues de la fermentation. Bon Vivant a choisi Abolis Technologies, une référence des biotechnologies industrielles, pour développer son mode de production de protéines de lait durables et de qualité. Dans le cadre de cette collaboration, les deux entreprises nées en France mettront en commun leur expertise pour produire en masse ces protéines de lait et les proposer aux industriels de la filière. Après une première levée à 4 millions d’euros, Bon Vivant accède à une nouvelle étape, clef de son développement sur le marché européen avec l’officialisation de ce partenariat.

Hélène Briand, co-fondatrice et Directrice du développement de l’innovation et de la production chez Bon Vivant a déclaré : « Notre partenariat est né de la volonté de proposer, à grande échelle, des produits laitiers sains, avec des qualités organoleptiques et nutritives identiques à ceux issus des animaux et accessibles, dont le développement doit être respectueux de l’environnement. Nous sommes heureux de joindre nos forces pour répondre à un besoin mondial : nourrir une population croissante, tout en produisant de manière durable et plus écologique. L’expertise très pointues d’Abolis va nous permettre de concrétiser nos ambitions communes. » De son côté, Valérie Brunel, Directrice Générale d’Abolis Biotechnologies explique : « Enrichir et diversifier le panel de sources de protéines en limitant notre impact écologique est un enjeu majeur pour l’avenir de l’humanité. À l’instar de notre engagement auprès des grands groupes industriels pour leur proposer de nouvelles solutions de production compatibles avec leurs objectifs de transition écologique, nous souhaitons aider à relever ce nouveau défi. Nous sommes plus que jamais engagés auprès de notre partenaire pour développer ces nouvelles sources de protéines et comptons sur son expertise pour en faire des produits sains, accessibles et à la hauteur de notre culture culinaire ». 

Abolis Technologies offre à Bon Vivant sa plateforme et son expertise en fermentation de précision pour produire des protéines de lait.  

En 7 ans, le nombre de divertissements dans les start-up de foodtech a été multiplié par 55. En tant que start-up française, Bon Vivant veut imposer son modèle de production alternatif avec l’ambition de proposer des produits qui ont du goût et de la texture, fidèle à une culture gastronomique européenne basée sur le savoir-faire et la tradition. À la recherche d’une expertise très spécifique et d’une plateforme dédiée pour développer son nouveau mode de production de protéines à base de lait. Bon Vivant s’est tourné vers Abolis Biotechnologie, qui incarnait le partenaire idéal. Référence sur un marché des biotechnologies industrielles en pleine expansion, l’entreprise bénéficie déjà de la confiance de clients prestigieux, dont notamment quelques grands groupes leaders mondiaux dans leur domaine. 

Une réponse durable à la crise alimentaire et écologique pour révolutionner le marché des produits laitiers.

Crée par Stéphane Mac Millan et Hélène Briand, Bon Vivant se positionne sur le marché européen de la foodtech pour proposer une méthode alternative de production des produits laitiers, dans un contexte de crise alimentaire et écologiques globale. D’ici à 2050, la demande en protéines animales augmentera de 50 % à 100 %. Toutefois, produire ces sources de protéines représente un coût écologique conséquent qui épuise nos ressources naturelles et mettent en danger le bien-être animal. À travers cette collaboration, les deux entreprises françaises mettent au point un processus de production qui s’appuie sur la fermentation de précision, et réduit ainsi drastiquement l’espace et les intrants nécessaires à la production de produits laitiers identiques en goût, texture et apports nutritionnels aux produits laitiers traditionnels. 

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