Il s’agit d’un type de plateforme qui fait office d’interface entre les propriétaires bailleurs et les locataires. La valeur ajoutée ? La réservation en ligne ! Le but de Studapart: simplifier les locations d’au moins 1 mois pour tous les publics, étudiants comme professionnels. Avec quelque 700 K de locataires, 160 K de logements, 65 K de propriétaires, Studapart s’est rapidement fait une place de choix sur ce marché.
Le rôle de ces plateformes consiste à fluidifier les relations entre les bailleurs et les locataires. Loyers impayés, dégradations mobilière et immobilières : les litiges ne manquent pas, et ont poussé la plateforme de réservation de logements en ligne à faire évoluer ses garanties pour protéger les propriétaires bailleurs. Cela ne doit en aucun cas occulter le rôle premier de ces plateformes : faciliter l’accès au logement pour les locataires.
Une plateforme facilitant les rapports bailleurs-locataires
En plus des chiffres évoqués ci-dessus, Studapart est présent dans plus de 45 villes de France, mais aussi à Bruxelles, Madrid et Barcelone. La plateforme pèse à ce jour plus de 7,5 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Bien que plateforme leader de la réservation en ligne de logements pour les étudiants, la cible de la plateforme n’a pas d’âge. Tous les publics sont concernés, du moment qu’ils envisagent une location d’un mois minimum.
La mise à disposition d’un réseau, une interface facile d’utilisation, une envie d’humaniser les rapports entre les bailleurs et les locataires : voilà tous les éléments qui ont fait le succès de Studapart.
Une plateforme qui évolue face aux litiges
C’est un fait, le nombre de loyers impayés est en augmentation. Pour avril 2023, on estime à 9 % le taux de loyers impayés en France. Si l’inflation qui culmine à plus de 7 % n’est peut-être pas étrangère à cela, il n’en demeure pas moins que les situations conflictuelles augmentent.
En 2018, Sudapart lançait la Garantie Studapart, un produit de garantie optionnel et gratuit pour les propriétaires afin de sécuriser leur location couvrant jusqu’à 96 000 € de loyers impayés, 3 000 € de dégradations immobilières et 1 500 € de dégradations mobilières. En 2023, elle est incluse dans 40 % des réservations sur la plateforme, par les propriétaires particuliers et professionnels. Le signe d’une demande de garantie de la part des bailleurs.
Ce besoin n’a pas échappé à la plateforme Studapart, qui a amendé ses conditions et qui, à partir du 11 mai 2023, propose aux propriétaires une formule leur permettant de bénéficier automatiquement de l’assurance contre les dégradations immobilières (sol, mur, plafond), et les dégâts mobiliers (meubles, objets et matériels personnels). En d’autres termes, les bailleurs sont désormais couverts gratuitement à hauteur de 1 500 € de dégradations mobilières et 3 000 € de dégradations immobilières (en plus du dépôt de garantie encaissé lors de l’entrée du locataire) pour toute réservation sur la plateforme et pour toute la durée de la location.
La couverture concernant d’éventuels impayés reste, elle, optionnelle.
Cette évolution due au contexte a constitué un défi de taille pour les gestionnaires de Studapart, qui continuent de polir leur service avec le même objectif : offrir aux bailleurs et aux locataires une plateforme ergonomique qui permette de faciliter des recherches de logements, le tout dans un cadre sécurisant pour toutes les parties.
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