Ex-pdg d’Alma Consulting, mécène, collectionneur d’art, Marc Eisenberg a eu de nombreuses vies professionnelles, toutes tournées vers un seul objectif : le progrès social. Humaniste, il se dédie aujourd’hui à ses engagements caritatifs, sans pour autant délaisser l’écosystème entrepreneurial français. Membre Parnasse de la première heure, il nous éclaire sur les raisons de son adhésion aux valeurs de la marque premium d’Orange : l’accompagnement humain, fait d’écoute et de réponse…sur-mesure !
Vous êtes un homme discret, pourtant, vous avez su contribuer au succès de nombreuses entreprises françaises…
Je suis effectivement passionné par la création entrepreneuriale. Je vois l’entreprise comme un outil dont le succès doit permettre à chacun, en son sein, du patron à l’ensemble des salariés, de connaître ensemble la réussite.
Alma Consulting, que vous avez créée, a été élue « great place to work » à plusieurs reprises, avant votre départ, en 2012. Quelle était votre recette ?
Alma Consulting était une structure dédiée à l’amélioration de la rentabilité de l’entreprise. Le conseil fiscal et social sur-mesure que nous dispensions aux entreprises leur permettait de réaliser de substantielles économies, injectables dans la croissance et… la rémunération de leurs salariés. Le succès doit être synonyme de progrès social pour ceux qui y contribuent…
Vous avez eu une vie professionnelle riche et avez choisi Parnasse pour gérer vos besoins numériques. Pourquoi ?
J’ai fait partie des cinq premiers clients de Parnasse, que j’ai rejoint dès la création de la marque, en compagnie de mon ami Jean-Louis Lasseri. L’accompagnement humain, l’aide technique, les conseils pour l’achat de matériel ou l’installation, tout chez Parnasse correspond, depuis le début, à mes attentes.
Quelles sont les offres de service qui ont retenu votre attention ?
Je voyage beaucoup, les forfaits mobiles tout compris à l’étranger sont donc très intéressants. J’ai créé Alma Consulting, en 1986 : nous étions trois au sein de la structure. Lorsque j’ai quitté le groupe, en 2012, il comptait 1700 salariés. J’ai fait appel à Parnasse pour l’équipement et la mise en réseau de mes bureaux.
Quel lien entretenez-vous avec votre coach Parnasse ?
J’ai le même depuis mon entrée dans le Cercle et j’apprécie cette permanence. Je suis un peu geek, j’aime qu’on me conseille sur l’achat de produits high tech !
Parnasse associe à ses gammes de service, une offre événementielle. Vous arrive-t-il d’en profiter ?
Je suis souvent en déplacement mais j’ai eu l’occasion de profiter des invitations à Roland-Garros, notamment lorsque Federer jouait ! Je suis collectionneur d’art et j’ai été très impressionné par l’événement organisé pour le dévoilement de la collection Morozov, à la Fondation Vuitton, que Parnasse avait privatisée pour ses Membres.
La transformation numérique des activités humaines a modifié notre rapport à la technologie. En bien ou en mal ?
L’excès, en tout, est un défaut. Le digital c’est comme la langue d’Ésope, ça peut être la meilleure ou la pire des choses, il faut l’utiliser intelligemment, notamment dans l’éducation.
Notre dépendance au digital est un peu plus forte chaque jour : comment avons-nous pu vivre sans portable, on se le demande ? Je n’aime pas l’idée d’être tout le temps traqué, je l’ai vécu récemment en cherchant une adresse sur mon ordinateur. Lorsque j’ai voulu, peu après, commander un VTC, l’application m’a, d’office, proposé d’aller à la même adresse… C’est effrayant ! Idem pour le monde du travail : si la transformation digitale multiplie et maintient les liens, alors c’est une bonne chose. Si, elle nuit à la cohésion, elle devient néfaste. C’est ce que j’aime, a contrario, chez Parnasse : quoi que je fasse, quel que soit mon besoin, j’ai toujours, à mon écoute, un être humain…