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Investir dans l’eau pure : ÖKO EUROPE lance sa levée de fonds !

ÖKO EUROPE

La croissance des ventes est ahurissante, + 2300 % entre 2022 et 2023. Une dynamique solide, entretenue et appelée à se pérenniser. ÖKO EUROPE amorce une levée permanente de capitaux pensée pour ravir les investisseurs soucieux de concilier utilité, éthique et rendement. C’est d’une gourde qu’il s’agit, une gourde filtrante reposant sur une technologie conçue par la NASA. Un produit précieux, presque évident, mais dont le promoteur est assez surprenant…  

 

La gourde ultra-filtrante au pitch enchanteur  

 

OKÖ EUROPE est fondée sur un spin-off, une technologie dérivée des recherches de la NASA. On le sait peu, mais lors d’une mission spatiale, il importe de pouvoir recycler et filtrer l’eau afin d’optimiser cette ressource vitale. À l’aide d’un filtre puissant, l’agence américaine est parvenue à débarrasser l’eau consommée par les astronautes de tout contaminant microbien ou chimique. Il en allait de la santé des voyageurs spatiaux. Mieux : de leur survie. Et voilà que cette technologie, tombée dans le domaine public, a été exploitée par ÖKO pour les besoins terrestres. Il en ressort une gourde stupéfiante qui a rapidement séduit toutes sortes de consommateurs, du trekkeur de l’extrême au simple randonneur, des survivalistes aux familles soucieuses de s’hydrater sainement. 

Car, en effet, même l’eau du robinet est saturée de contaminants. Elle est potable, certes, mais sans être tout à fait saine pour autant. Et c’est dans cet espace d’inquiétude qu’est venu se loger la solution d’ÖKO EUROPE avec cette gourde, aussi design que salutaire. Pesticides, métaux lourds, chlore, médicaments, virus, bactéries, parasites, PFAS, etc. : rien ne traverse son filtre. Rien. Sauf les sels minéraux. Parfait. 3 000 exemplaires ont été vendus en 2022. 70 000 se sont écoulés en 2023. 2024 va pulvériser le compteur. ÖKO EUROPE vient d’acquérir un nouvel entrepôt et s’apprête à accélérer son déploiement. Parce que son fondateur, Jan Vansinte, aime à croire que l’affaire doit être collective et hors circuit bancaire, l’heure est à la levée permanente de fonds. 

 

 

Ouverture des placements permanents autour d’un produit… et d’un homme

Il est porté par une énergie brûlante. Inarrêtable. Le genre de passionnés qui déplacent l’air autour d’eux, façon tornade. Très vite, on se laisse emporter. C’est que le discours est d’abord un argumentaire solide. Indiscutable. Cet homme, c’est Jan Vansinte, et sa mission consiste à assainir l’eau. Ni plus, ni moins. L’ambition, un peu folle, est pourtant à portée de chaque lèvre, grâce à cette gourde ultra-filtrante en passe de devenir un phénomène. Comme tous les CEO charismatiques, Jan a des idées bien à lui et ne manque jamais une occasion de les faire connaître. Ce qu’il y a de plus important ? « L’argent ». Oui. Inutile de se dissimuler derrière une couche superficielle de valeurs. Est-ce dire que l’homme est aveugle à ce qui fait humanité ? Absolument pas. Au contraire. « L’argent, c’est l’art des gens », dit-il, c’est le nerf de la guerre, ce centre de gravité autour duquel nous devrons composer ce monde nouveau, équilibré, sain, équitable, éthique. 

Aujourd’hui, il ouvre les placements permanents dans ÖKO EUROPE (tel qu’il le faisait auparavant via sa société belge, créatrice d’ÖKO EUROPE) en tenant fermement son cap : ni banques, ni business angels. « Je me fais confiance, donc, je fais confiance à l’être humain ». En fait, son rapport aux affaires est celui d’un père de famille qui promeut le bon sens. « Certes, j’actionne, mais je ne suis rien sans les financiers, l’équipe pour emballer, répondre au service client, la comptabilité, la gestion des professionnels, etc. ». Pas d’équivalence entre eux, mais pas de hiérarchie non plus. Le propos a des airs d’élément de langage mais, ce qui est moins courant, c’est en avoir fait une ligne de conduite concrète. En interne, on le surnomme « Abbé pierre de la finance ». Que l’argent profite à ceux qui ont permis de le gagner ! Redistribuer, au maximum. Le faire de manière transparente. Jouer le jeu fiscal, même lorsqu’il est déplaisant. Le pari d’origine est simple : rien ne saurait davantage séduire que le placement d’une partie de ses avoirs dans une entreprise française, dont le capital est placé dans des produits imputrescibles, stockés sur le territoire (à Couternon, près de Dijon), et géré par de vertueuses personnes. 

Un plan financier attractif

Les fonds des investisseurs permettent l’achat et la vente des gourdes, transformant ainsi les capitaux en actifs tangibles et en bénéfices (qui rémunèrent tout cet univers). On notera que les taux d’intérêt varient selon le capital investi, sur le principe des paliers et avec la fidélité pour facteur de bonification. 


À partir de 5 000 euros jusqu’à 20 000 euros : 

  • 10 % la première année 
  • 15 % la deuxième année
  • 20 % la troisième année

À partir de 20 000 euros jusqu’à 100 000 euros :

  • 15 % la première année 
  • 20 % la deuxième année
  • 25 % la troisième année

À partir de 100 000 euros jusqu’à 300 000 euros :

  • 20 % la première année 
  • 25 % la deuxième année
  • 30 % la troisième année

Transparence et sécurité sont ici deux maîtres-mots. Les intérêts du prêt sont payés tous les trimestres, à dater de la date de réception des fonds sur le compte bancaire Crédit Agricole ÖKO EUROPE. Ils sont d’ailleurs quotidiennement mis de côté afin de pouvoir rétribuer les prêteurs rubis sur ongle. 

En cas de récupération des fonds, l’opération est en principe effectuée sous six mois, mais Jan Vansinte assure qu’en réalité les choses sont bien plus rapides étant donné la facilité à remplacer un prêteur par une autre (y compris lorsque le montant maximum de trois cent mille euros d’investissement a été atteint).

Pour en savoir plus quant à son éligibilité, il suffit d’être client d’OKÖ EUROPE pour accéder à un bref questionnaire en ligne à partir duquel seront effectuées les vérifications. 

 

Dynamique d’investissement : aller vers la sûreté des rendements  

Un contraste tranchant avec l’habituel monde financier, c’est-à-dire avec ce que Jan fut par le passé. Car, oui, c’est à un repenti que nous avons affaire. En 2000, il trade en ligne, aux côtés des premiers francophones et crée « One Trade » sur le principe d’une seule opération par jour, automatisée selon de strictes règles d’entrées et de sorties. Il commercialise ses formations et écume les plus gros salons de l’univers boursiers. Tout se passe au mieux. Jusqu’à son « éveil ». Un Tour de France de conférences sur la création monétaire lui attire les sympathies. En bon trader, il sait alors sortir de sa position… 

De 2009 à 2016, Jan Vansinte sera gestionnaire de fortune, en Suisse puis en Belgique. Terminée, la pure spéculation, place à la sécurité avec un sous-jacent immobilier. En 2016, il crée CLASSAFFAIRE avec, déjà, la transparence pour axiome. En 2018, tout à ses yeux est balayé au profit de l’eau. Il faut en faire comprendre la préciosité. Il faut y investir. Il faut faire, véritablement. D’abord, à travers des solutions de filtrations, puis avec cette gourde. Ses prêteurs particuliers lui font confiance : ils suivent et ne regrettent pas d’avoir accompagné le mouvement. La vaguelette a pris de l’ampleur. Le déferlement est en cours. 














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