Le grand public comprend généralement mal les enjeux derrière le traitement des carburants, en particulier dans les secteurs de l’industrie lourde. En optimisant leur combustion, on réalise une réduction sensible des gaz à effet de serre, mais aussi un usage rationnel des ressources énergétiques. à présenter les choses ainsi, on peine à savoir qui l’emporte : le souci écologique ou l’intérêt financier…
UNE SOLUTION ÉCONOMIQUE ET 100 % NATURELLE
Ce que démontre ADERCO, société initialement spécialisée dans le traitement des carburants à destination du trans- port maritime, le shipping, c’est qu’il n’y a finalement pas à trancher. On peut, tout à la fois, réduire la dépense et satisfaire aux exigences de la communication. Entretenir ses moteurs, améliorer l’efficacité énergétique du carburant et lutter contre le CO2. Depuis 40 ans, ADERCO développe du fuel traitement 100 % végétal-organique contre la quasi-inté- gralité de sa concurrence. Et, surtout, en s’orientant vers le pan terrestre, l’entre- prise suisse a pu obtenir une précieuse certification. La SGS (Société Générale de Surveillance) a, en effet, établi que l’usage de ses additifs réduisait de 5,1 % la consommation de carburant. Double avantage donc, indiscutablement. Et, par là même, des centaines de milliers de tonnes de CO2 en moins.
L’AFRIQUE, CONTINENT D’AVENIR
Avec son arrivée sur le marché terrestre, ADERCO a suscité un intérêt interna- tional, du côté des pompes à essences, des centrales électriques, mais aussi et surtout du secteur minier. La Guinée Conakry offre un excellent exemple en la matière. Certains ministères africains, portés par le souci de décarboner leurs industries, ont accepté de collaborer avec l’entreprise belge.. On sent monter une attention nouvelle et prometteuse, y compris du côté des sociétés privées. L’Afrique est, certes, le continent le moins polluant, mais son développement est en marche, et le désir de croissance n’entache en rien celui de faire au mieux. Les modes de production non polluants sauront soutenir les dynamiques industrielles, car nul n’échappera aux effets du changement climatique.
TIRER PROFIT DU CRÉDIT CARBONE
On estime qu’en 2050, le secteur minier aura décarboné à hauteur de 90 % grâce à des alternatives énergétiques et technologiques. Il restera néanmoins 10 % d’émissions incompressibles et les « entreprises vertes » pourront revendre leurs crédits carbones excédentaires à celles qui dépassent la limite autorisée. On comprend qu’un additif végétal-organique, tel que ceux proposés par ADERCO, fait à la fois office de solution et d’aubaine. Toute entreprise collaborant dans ce sens participera, dès à présent, à une démarche vertueuse, indiquera son soin environnemental et sa vision d’avenir. Là encore, belle manière d’articuler raison financière et sustainability. L’avenir est aux logiques gagnantes.
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