Chez les Longueteau, le rhum est une histoire de famille depuis le 19e siècle. Une passion et un savoir-faire ancestral au service du terroir et d’une signature aromatique précise produite à Capesterre Belle-Eau, en Guadeloupe.
Des valeurs familiales mêlées à un terroir exceptionnel offrent à la maison Longueteau la possibilité de créer une signature aromatique unique. Depuis cinq générations, la Distillerie Longueteau crée des rhums à la signature parfumée. De la plantation de la canne à sucre à la fermeture du flacon, la maison guadeloupéenne met son savoir-faire au service de l’art de vivre et de la table avec « un produit fini » fait dans le respect de l’agriculture raisonnée « grâce à des méthodes ancestrales ».
Agriculteurs, distillateurs et éleveurs, les Longueteau se transmettent de père en fils l’amour du fruit travaillé méticuleusement pour obtenir « la meilleure des adéquations : terroir et homme », souligne François Longueteau, dirigeant de la maison. À l’aube de ses 130 ans, célébrés en 2025, la distillerie située à Capesterre Belle-Eau continue d’imaginer ses rhums agricoles et ses punchs « avec une vision bien précise », celle d’un spiritueux emblématique, aromatique, ne répondant pas à la demande d’un marché, mais bien à celle d’une histoire familiale et d’un territoire « avec finesse et rigueur ».
Longueteau, des Rhums certifiés et reconnus
Un produit haut de gamme pour les cavistes, les chefs, les sommeliers et les mixologues, que François Longueteau veut accessible. « La gamme de rhum traditionnelle se situe entre 20 et 35 euros, nos millésimes en rhum agricole blanc entre 30 et 50 euros, nos rhums agricoles vieux de 50 à 95 euros et enfin nos Single Cask millésimés sont à plus de 150 euros », explique-t-il. Un savoir-faire et un respect du terroir qui a permis aux collections Longueteau et Papillon d’être « sous indication géographique » et d’obtenir l’appellation Rhum agricole de la Guadeloupe.
En pleine croissance, la maison regarde vers l’avenir. D’ici 2026, François Longueteau et son père souhaitent augmenter leur capacité de production de rhum vieux en passant d’un stock de 750 fûts à 3 000 fûts. La distillerie se tourne alors vers « des marchés plus attentifs aux alcools vieillis », en s’ouvrant aux États-Unis et au Québec, et à l’ensemble du marché européen. « Nous privilégions encore aujourd’hui les échanges avec les territoires attachés au terroir, à la culture du vin, du spiritueux et de la gastronomie ».
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