Depuis 2020, l’École supérieure des métiers du droit s’empare des enjeux technologiques tels que la protection des données ou l’intelligence artificielle. Face aux changements constants des réglementations, l’ESMD prépare ses étudiants au défi ultime de toute entreprise : s’adapter ou mourir.
Comprendre le monde de l’entreprise et ses enjeux
L’ESMD, ce sont ceux qui la fréquentent qui en parlent le mieux. Jules, diplômé en Mastère Droit des affaires et Legaltech : “Les connaissances acquises durant mon cursus en alternance au sein du Département Juridique de Toyota France sont constamment mobilisées pour relever les défis variés de mon quotidien de juriste junior.” L’École supérieure des métiers du droit semble faire l’unanimité, fédérant étudiants, professionnels et académiques, à l’image de Jacques Soppelsa, Président honoraire de Paris 1 Panthéon–Sorbonne et Président du comité pédagogique de l’ESMD.
Mais avant tout, cette école de droit tient sa légitimité de son offre de formation, dès la sortie du baccalauréat et jusqu’à bac +5. Selon Benoit Lachamp, co-fondateur et Directeur général, “c’est une véritable école de droit qui enseigne aussi la compréhension de l’entreprise et ses enjeux. Une fois débarrassé du côté école de commerce, on peut aller très loin sur le droit ; une fois débarrassé du côté avocat, on peut vraiment se focaliser sur l’entreprise et amener des sujets pointus, comme dans nos Mastères, sur les sujets de compliance et legaltech”, poursuit le DG.
Gagner en réactivité face aux changements de réglementation
Au côté de Benoit Lachamp, qui s’est forgé avant l’ESMD une forte expérience au sein d’écoles du numérique, l’autre co-fondateur, c’est Yvan Fellous. Acteur majeur du monde de l’éducation depuis la fin des années 1970, il est un des pionniers des plateformes de soutien scolaire. Ce tandem a mis sur pied une école innovante, tournée vers les nouvelles technologies qui inondent le monde de l’entreprise aujourd’hui. De leurs riches expériences est née une vision : parce que tout devient obsolète, il faut apprendre à apprendre. Les étudiants de l’ESMD sont mis dans les meilleures dispositions pour devenir les experts d’un monde qui change.
En complément des programmes étoffés, l’école propose des conférences, ouvertes aux anciens élèves qui peuvent ainsi tenir à jour leurs connaissances. Thèmes et intervenant sont très variés : l’accès au droit étranger, par Julie Heisser, cheffe du bureau du Droit comparé au Ministère de la Justice ; les nouvelles attentes des directions juridiques, par Amélie de Braux, vice-présidente du Cercle Montesquieu ; ou encore le témoignage de Sixtine Moullé-Berteaux, co-fondatrice du média Le Crayon. “C’est notre moyen d’ouvrir l’esprit des étudiants sur des sujets qui ne peuvent pas devenir des cours”, se félicite le Directeur général.
Des formateurs qui sont des experts de terrain
Parmi l’offre de formation de l’ESMD, on retrouve le Mastère juriste Compliance. Un diplôme qui forme de réels experts du droit qui soient également capables de gérer des projets complexes. De tels profils vont intéresser les grandes entreprises qui traitent de sujets conformité au quotidien, tout comme des PME qui se rendent compte de l’importance d’une telle expertise, quand elles sont assaillies par les réglementations.
Autre Mastère, orienté cette fois-ci juriste d’affaires et Legaltech. Il s’attache à la prise de conscience sur les implications de l’intelligence artificielle ou la maîtrise de la blockchain, et propose même des cours autour du legal ops, tendance naissante en France. Une forme d’avant-gardisme qui a attiré l’intérêt du cabinet EY (ex Ernst & Young), devenu partenaire sur cette matière. Tous ces étudiants pourront prétendre à de nombreuses fonctions : juriste, responsable juridique, data protection officer ou même consultant en transformation digitale.
Faire de la pédagogie par la mise en application
Quel que soit le diplôme, la confrontation au réel est la clé du succès. S’ils ne sont pas en alternance, les élèves suivront des stages obligatoires. Aussi et surtout, leurs professeurs sont essentiellement des gens qui sont en poste, à l’image du membre du comité pédagogique Julia Collinet, Global Data Protection Officer – DFS Group Limited (LVMH). Ces professionnels sont épaulés par des universitaires, qui interviennent sur des matières clés : droit commercial, procédure civile ou pénale, ou encore droit de la concurrence.
“De manière générale, nous essayons de faire de la pédagogie par la mise en application. C’est en faisant vivre et ressentir des choses aux étudiants qu’on leur permet de prendre conscience des enjeux”, résume Benoit Lachamp. Parce que l’accès aux études de droit ne doit pas être réservé à une élite, les candidatures ne sont pas payantes. Seul pré-requis : un bac, ou un diplôme de droit pour les admissions parallèles. Et avec un maximum de 35 élèves par classe, l’ESMD est et restera une école à taille humaine. Futurs étudiants ou entreprises partenaires, rendez-vous sur le site de l’ESMD pour candidater et vous préparer, de la meilleure des manières, à ce que l’avenir du droit vous réserve.
