Depuis Lausanne, le cabinet Mazou Avocats, fondé et dirigé par Miriam Mazou, traite des dossiers pénaux complexes et transfrontaliers avec une expertise pointue en droit pénal des affaires. L’Étude d’avocats collabore aussi avec des cabinets situés à l’étranger.
Réflexion stratégique et rigueur technique
Des affaires ayant trait au blanchiment d’argent, d’autres ayant des ramifications internationales, des cas de corruption… Les dossiers que traite Mazou Avocats sont vastes, et d’une technicité importante. C’est ce qu’apprécie la fondatrice de cette Étude, Miriam Mazou. L’avocate aurait pu poursuivre sa carrière d’associée dans une Étude réputée de Lausanne. Mais son âme d’entrepreneuse l’amène, en 2021, à fonder sa propre Étude, Mazou Avocats. Aujourd’hui entourée de l’équipe compétente et dynamique qu’elle a constituée, elle traite des dossiers complexes et délicats. En parallèle, Miriam Mazou a noué avec plusieurs cabinets d’avocats, basés principalement à Genève, Zurich et en France, des liens étroits très utiles pour traiter d’affaires internationales.
L’équipe de l’Étude Mazou Avocats intervient dans des situations où se croisent les intérêts financiers, la responsabilité pénale et des enjeux de réputation. Le cabinet est régulièrement sollicité par de grandes entreprises, des structures de plus petite taille, ou des particuliers confrontés à des situations d’escroquerie, de gestion déloyale, ou encore à des litiges entre associés.
Aucun doute, Miriam Mazou est faite pour cette profession. «Ce métier me passionne parce qu’il allie réflexion stratégique, rigueur technique et sens humain. Chaque dossier exige d’anticiper les arguments de la partie adverse, de prévoir plusieurs scénarios et d’avoir toujours un coup d’avance». Pour Miriam Mazou, c’est cette capacité à construire, ajuster, et parfois improviser en temps réel, qui rend la profession si exigeante – et si stimulante.
Un domaine en constante évolution
Le droit pénal économique évolue constamment. «En ce moment, la Suisse est par exemple en train d’élaborer une nouvelle loi sur la transparence des personnes morales. Celle-ci imposera la création d’un registre fédéral de transparence auquel les sociétés devront désormais annoncer l’identité de leurs ayants-droits économiques. Une extension du champ d’application de la loi sur le blanchiment d’argent est également au programme» précise l’avocate.
Miriam Mazou est aussi sollicitée en amont, pour évaluer les chances de succès d’une plainte ou formuler un avis de droit. À cette technicité s’ajoute une expertise en entraide judiciaire internationale pour les procédures pénales transfrontalières. Des dossiers souvent complexes qui nécessitent une grande maîtrise du droit national et la connaissance de pratiques étrangères, que Me Mazou aborde avec rigueur.
Deux décennies d’expérience au service de ses clients
Miriam Mazou pratique le barreau depuis plus de 20 ans, principalement dans les cantons de Vaud et Genève. Elle se consacre au droit pénal, et plus particulièrement au droit pénal des affaires, un domaine qui exige à la fois précision, engagement et disponibilité.
Après plusieurs années dans le même cabinet – dont dix en tant qu’associée – Miriam Mazou obtient le titre d’avocate spécialisée en droit pénal délivré par la fédération suisse des avocats, puis fonde sa propre Étude. Son aisance en audience, sa capacité à accompagner des affaires complexes et à forts enjeux lui ont permis de gagner la confiance d’une clientèle exigeante. Pour l’avocate, «qu’il s’agisse d’une partie plaignante ou un prévenu, une défense réussie repose sur la confiance et une stratégie sur mesure en fonction des objectifs du client».
L’intelligence collective au cœur d’une structure agile
Miriam Mazou est entourée de plusieurs avocats engagés et d’une équipe administrative solide. Tous partagent une passion pour le droit pénal et travaillent en équipe pour satisfaire les clients de l’Étude. «Ce fonctionnement collectif nous permet de viser l’excellence et d’apporter à nos clients un accompagnement sur mesure», explique Miriam Mazou. En discutant les cas à plusieurs, l’équipe partage ses expériences et affine ses stratégies.
En parallèle de son activité d’avocate, Miriam Mazou, ancienne chargée de cours à l’Université de Lausanne, intervient ponctuellement lors de conférences et formations. Ses nombreuses contributions à des publications scientifiques lui valent d’être régulièrement citée par le Tribunal fédéral suisse, plus haute instance judiciaire du pays. L’avocate intervient également dans les médias, notamment à la télévision et à la radio, pour y livrer son expertise.
Ceci est un article sponsorisé en partenariat avec Médias France.